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Son époux, en poste à l’époque à l’Inspection générale d’État (IGE), est introuvable depuis le 19 novembre 2022. Le corps sans vie du compagnon de ce dernier le jour de sa disparition, le sergent Fulbert Sambou, a été retrouvé quatre jours plus tard. En séjour en France, la dame a tenu, ce mercredi, un sit-in devant le consulat du Sénégal dans la capitale française et entamé une grève de la faim. Elle réclame des nouvelles de son mari dont la famille, révèle-t-elle, ne recevrait plus son salaire depuis que ses traces ont été perdues. Voici un extrait de son message vidéo repris par Vox Populi.
«Je vais me mettre en grève de la faim. S'il le faut, je vais en mourir. C'est ce qu'ils veulent, à la fin. Mes enfants me posent toujours des questions sur leur papa. Mais, qu'est-ce que je leur réponds ?
«Nous avons reçu l'information de la disparition de mon mari via les réseaux sociaux. Mon mari a tout donné à son pays. Pendant le temps qu'il travaillait pour son pays, moi je me suis acquittée de mes obligations de mère et des obligations de père de mon conjoint. Et cette situation est très dure.
«Malgré mes tentatives pour que l'enquête avance, rien n'est fait. Il n'y a aucun respect pour la famille. J'ai écrit à toutes les autorités, même au Haut commandant de la gendarmerie, le général Moussa Fall, mais ils ne me répondent pas. Qu'est-ce que je peux faire ?»
«Je vais me mettre en grève de la faim. S'il le faut, je vais en mourir. C'est ce qu'ils veulent, à la fin. Mes enfants me posent toujours des questions sur leur papa. Mais, qu'est-ce que je leur réponds ?
«Nous avons reçu l'information de la disparition de mon mari via les réseaux sociaux. Mon mari a tout donné à son pays. Pendant le temps qu'il travaillait pour son pays, moi je me suis acquittée de mes obligations de mère et des obligations de père de mon conjoint. Et cette situation est très dure.
«Malgré mes tentatives pour que l'enquête avance, rien n'est fait. Il n'y a aucun respect pour la famille. J'ai écrit à toutes les autorités, même au Haut commandant de la gendarmerie, le général Moussa Fall, mais ils ne me répondent pas. Qu'est-ce que je peux faire ?»
