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L'arrestation-élargissement de Sidy Amar en a surpris plus d'un au Sénégal, surtout en raison de ses liens de parenté avec son super liquide de jeune frère, le prénommé Cheikh, qui a vite fait, comme précédemment indiqué, de mettre la main à la poche.
Selon des sources très au fait du dossier, Mr. Sidy Amar était arrivé, au prix de manœuvres dolosives, à gagner la confiance d'hommes d'affaires mauritaniens et à les persuader de pouvoir leur livrer dans les meilleurs délais 700 tonnes d'urée (engrais azoté solide destiné au phosphatage des sols arables). Le coût de la transaction tournait autour de de 180 millions cfa, mais ne connaîtra jamais de dénouement, du fait de l'impossibilité de Mr. Amar de s'exécuter, faute de posséder le produit tant recherché. En effet, celui qu'il avait exhibé fièrement à ses clients Aya Mokhtar et Mohamed dans des entrepôts, ne lui appartenait pas... Cependant, une fois l'argent viré dans son compte ouvert à la Cbao, il ne fit plus signe de vie, jusqu'à ce que, de guerre lasse, ses cocontractants commencèrent à s'agiter pour recouvrer leur mise. L'affaire commença à se gâter de nouveau pour notre compatriote, lorsqu'un chèque de 47millions, revint impayé aux plaignants. Il est toutefois à noter que trois chèques avaient déjà fait l'objet de remboursement.
Ne pouvant honorer ses engagements, il fut naturellement ''cueilli'' à l'hôtel de la Croix du Sud, où il se trouvait, non sans avoir auparavant essayé de tromper son monde, en portant plainte contre ses clients pour menaces et harcèlement. La médiation pénale entreprise par son frère viendra le tirer encore de ce mauvais pas. Pour combien de temps serions nous tenté de dire, puisqu'au cours de notre enquête, il nous est revenu que Mr. Sidy Amar était coutumier des faits, pour avoir eu à plusieurs reprises des démêlés de cet ordre, que son jeune frère, Cheikh Amar finissait toujours par dénouer. Toutes nos tentatives pour avoir la version de Mr. Sidy Amar sont restées vaines , néanmoins nos colonnes lui sont ouvertes...
dakaractu
Selon des sources très au fait du dossier, Mr. Sidy Amar était arrivé, au prix de manœuvres dolosives, à gagner la confiance d'hommes d'affaires mauritaniens et à les persuader de pouvoir leur livrer dans les meilleurs délais 700 tonnes d'urée (engrais azoté solide destiné au phosphatage des sols arables). Le coût de la transaction tournait autour de de 180 millions cfa, mais ne connaîtra jamais de dénouement, du fait de l'impossibilité de Mr. Amar de s'exécuter, faute de posséder le produit tant recherché. En effet, celui qu'il avait exhibé fièrement à ses clients Aya Mokhtar et Mohamed dans des entrepôts, ne lui appartenait pas... Cependant, une fois l'argent viré dans son compte ouvert à la Cbao, il ne fit plus signe de vie, jusqu'à ce que, de guerre lasse, ses cocontractants commencèrent à s'agiter pour recouvrer leur mise. L'affaire commença à se gâter de nouveau pour notre compatriote, lorsqu'un chèque de 47millions, revint impayé aux plaignants. Il est toutefois à noter que trois chèques avaient déjà fait l'objet de remboursement.
Ne pouvant honorer ses engagements, il fut naturellement ''cueilli'' à l'hôtel de la Croix du Sud, où il se trouvait, non sans avoir auparavant essayé de tromper son monde, en portant plainte contre ses clients pour menaces et harcèlement. La médiation pénale entreprise par son frère viendra le tirer encore de ce mauvais pas. Pour combien de temps serions nous tenté de dire, puisqu'au cours de notre enquête, il nous est revenu que Mr. Sidy Amar était coutumier des faits, pour avoir eu à plusieurs reprises des démêlés de cet ordre, que son jeune frère, Cheikh Amar finissait toujours par dénouer. Toutes nos tentatives pour avoir la version de Mr. Sidy Amar sont restées vaines , néanmoins nos colonnes lui sont ouvertes...
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