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Prenant la parole, lors de la cérémonie d’ouverture du dialogue national au Cicad hier, le ministre du Travail, chargé des relations avec les Institutions, Samba Sy, s’est exprimé en tant que Secrétaire général du Parti de l’indépendance et du travail (PIT).
Repris par Les Échos, il a indiqué que son parti est contre le projet de loi d'amnistie portant sur les manifestations politiques survenues entre 2021 et 2024 mais pour la poursuite du processus électoral.
« Mon parti ne peut entendre, supporter, accepter, que l’université a été brûlée en chantant. Mon parti ne saurait oublier que deux jeunes filles ont été consumées dans un bus. Mon parti ne comprend pas qu’on puisse s’attaquer, sous le manteau de la politique, à des instruments de fournitures d’eau et d’électricité. Mon parti ne pense pas qu’il soit faisable de s’en prendre à une caserne de gendarmerie », s’est ainsi démarqué l’allié avant de lancer :
« Je ne dis pas que nous ne devons pas nous réconcilier mais n’oublions pas que demain les mêmes causes ne produisent les mêmes effets.»
Son intervention n’a pas plu au Président Macky Sall. Mais alors pas du tout, souligne le journal. Celui-ci avance que ce dernier n’a pas tardé à réagir. « Chaque parti politique peut avoir sa position, ses intérêts mais il faut savoir que moi, je ne parle pas au non de mon parti. Je parle en tant que président de la République, gardien de la Constitution, garant de l’unité nationale. Donc, il faut savoir que les responsabilités ne sont pas les mêmes. Chacun peut penser ce qu’il veut mais moi en tant que président de la République, c’est ma décision », a-t-il martelé.
Repris par Les Échos, il a indiqué que son parti est contre le projet de loi d'amnistie portant sur les manifestations politiques survenues entre 2021 et 2024 mais pour la poursuite du processus électoral.
« Mon parti ne peut entendre, supporter, accepter, que l’université a été brûlée en chantant. Mon parti ne saurait oublier que deux jeunes filles ont été consumées dans un bus. Mon parti ne comprend pas qu’on puisse s’attaquer, sous le manteau de la politique, à des instruments de fournitures d’eau et d’électricité. Mon parti ne pense pas qu’il soit faisable de s’en prendre à une caserne de gendarmerie », s’est ainsi démarqué l’allié avant de lancer :
« Je ne dis pas que nous ne devons pas nous réconcilier mais n’oublions pas que demain les mêmes causes ne produisent les mêmes effets.»
Son intervention n’a pas plu au Président Macky Sall. Mais alors pas du tout, souligne le journal. Celui-ci avance que ce dernier n’a pas tardé à réagir. « Chaque parti politique peut avoir sa position, ses intérêts mais il faut savoir que moi, je ne parle pas au non de mon parti. Je parle en tant que président de la République, gardien de la Constitution, garant de l’unité nationale. Donc, il faut savoir que les responsabilités ne sont pas les mêmes. Chacun peut penser ce qu’il veut mais moi en tant que président de la République, c’est ma décision », a-t-il martelé.