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Le dialogue national est le seul moyen d’avoir une élection présidentielle (25 février 2024) libre et transparente. C’est la conviction du coordonnateur du pôle des non alignés, Déthié Faye.
« A 9 mois de l’élection présidentielle, c’est l’incertitude totale pour l’éligibilité de plusieurs candidats dont Karim Wade, Khalifa Sall, et Ousmane Sonko », a-t-il souligné. Avant de rappeler, outre les divergences sur la limitation des mandats concernant la candidature du président Macky Sall, que les trois sont actuellement hors course à cause de dispositions du Code électoral.
Pour Faye, qui plaide pour les modifications des articles L29 et L30, il faut « nécessairement » une concertation pour convenir des limites de la d’échéance électorale suivant les délits et crimes concernés. « Faute de quoi, on donnerait carte blanche à l’autorité pour fixer les conditions », prévient-il.
D’ailleurs, martèle-t-il, « ceux qui ont opté pour le non dialogue ont choisi l’élimination de Karim, Khalifa et Sonko et leur propre élimination par le parrainage. »
Avant d’enfoncer le clou : « Ceux qui refusent l’examen des questions qui conditionnent une élection libre, démocratique, transparente et apaisée devront avoir l’élégance d’accepter d’aller allonger la liste des recalés sans avoir besoin de tympaniser les Sénégalais par des points de presse ».
« A 9 mois de l’élection présidentielle, c’est l’incertitude totale pour l’éligibilité de plusieurs candidats dont Karim Wade, Khalifa Sall, et Ousmane Sonko », a-t-il souligné. Avant de rappeler, outre les divergences sur la limitation des mandats concernant la candidature du président Macky Sall, que les trois sont actuellement hors course à cause de dispositions du Code électoral.
Pour Faye, qui plaide pour les modifications des articles L29 et L30, il faut « nécessairement » une concertation pour convenir des limites de la d’échéance électorale suivant les délits et crimes concernés. « Faute de quoi, on donnerait carte blanche à l’autorité pour fixer les conditions », prévient-il.
D’ailleurs, martèle-t-il, « ceux qui ont opté pour le non dialogue ont choisi l’élimination de Karim, Khalifa et Sonko et leur propre élimination par le parrainage. »
Avant d’enfoncer le clou : « Ceux qui refusent l’examen des questions qui conditionnent une élection libre, démocratique, transparente et apaisée devront avoir l’élégance d’accepter d’aller allonger la liste des recalés sans avoir besoin de tympaniser les Sénégalais par des points de presse ».