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Le vice-président du parti Rewmi, Déthié Fall, en tournée à Diourbel, a réaffirmé la volonté de sa formation de s’unir autour d’une seule liste, afin d’éviter le piège du scrutin majoritaire, dans les départements, lors des prochaines Législatives. Il a aussi soulevé le manque de volonté du régime actuel à résoudre les problèmes des citoyens sénégalais.
Déthié Fall, vice-président du parti Rewmi, en tournée politique dans la ville de Diourbel, avant-hier, a profité d’un meeting de ralliement pour tirer encore sur l’actuel régime. “Avant et après son élection, Macky Sall n’a présenté aux Sénégalais que des promesses. Après toutes les étapes faites dans son département où il a été maire dans la commune de Fatick et les problèmes constatés dans la ville de Diourbel, c’est le lieu de lui décerner le prix Nobel des promesses non tenues et des espoirs déchus”, a-t-il lancé. A l’en croire, le Chef de l’Etat continue de tenir des promesses, alors que les premières qu’il avait faites ne sont pas encore réalisées, du fait que les problèmes persistent à l’intérieur du pays. “Le président de la République avait dit lors du conseil des ministres décentralisés qu’il allait injecter 209 milliards dans la région de Diourbel. Aujourd’hui, rien n’est encore fait dans cette localité. Nous y avons trouvé des populations qui n’ont pas d’emploi, une insécurité très inquiétante, des problèmes de santé, des infrastructures de très mauvaise qualité et des problèmes d’éducation”, a-t-il diagnostiqué.
La solution, pour le numéro 2 de Rewmi, est de faire partir le chef de l’Etat. Ce départ commence, selon lui, par une victoire de l’opposition lors des prochaines élections législatives du 30 juillet 2017. “L’opposition travaille sur un objectif extrêmement important consistant à imposer la cohabitation au niveau de l’Assemblée nationale. Cela nous permettra d’engager les réformes nécessaires allant dans le sens de la prise en charge des problèmes liés à la justice, la santé, l’insécurité, l’éducation et l’emploi”, a-t-il déclaré. Non sans souligner que le succès de l’opposition, pour ce futur scrutin, nécessite la réunion de toutes les forces de l’opposition autour d’une seule coalition. “Nous avons manifesté, depuis quelque temps, notre volonté de nous unir. Les leaders des partis politiques ou leurs porte-paroles incarnent cette volonté d’aller ensemble pour encadrer notre chance d’une victoire aux prochaines élections législatives. Le mode de scrutin nous l’impose. Il faudrait une large unité de l’opposition pour éviter le piège du système majoritaire dans les départements”, a-t-il prévenu.
Déthié Fall, vice-président du parti Rewmi, en tournée politique dans la ville de Diourbel, avant-hier, a profité d’un meeting de ralliement pour tirer encore sur l’actuel régime. “Avant et après son élection, Macky Sall n’a présenté aux Sénégalais que des promesses. Après toutes les étapes faites dans son département où il a été maire dans la commune de Fatick et les problèmes constatés dans la ville de Diourbel, c’est le lieu de lui décerner le prix Nobel des promesses non tenues et des espoirs déchus”, a-t-il lancé. A l’en croire, le Chef de l’Etat continue de tenir des promesses, alors que les premières qu’il avait faites ne sont pas encore réalisées, du fait que les problèmes persistent à l’intérieur du pays. “Le président de la République avait dit lors du conseil des ministres décentralisés qu’il allait injecter 209 milliards dans la région de Diourbel. Aujourd’hui, rien n’est encore fait dans cette localité. Nous y avons trouvé des populations qui n’ont pas d’emploi, une insécurité très inquiétante, des problèmes de santé, des infrastructures de très mauvaise qualité et des problèmes d’éducation”, a-t-il diagnostiqué.
La solution, pour le numéro 2 de Rewmi, est de faire partir le chef de l’Etat. Ce départ commence, selon lui, par une victoire de l’opposition lors des prochaines élections législatives du 30 juillet 2017. “L’opposition travaille sur un objectif extrêmement important consistant à imposer la cohabitation au niveau de l’Assemblée nationale. Cela nous permettra d’engager les réformes nécessaires allant dans le sens de la prise en charge des problèmes liés à la justice, la santé, l’insécurité, l’éducation et l’emploi”, a-t-il déclaré. Non sans souligner que le succès de l’opposition, pour ce futur scrutin, nécessite la réunion de toutes les forces de l’opposition autour d’une seule coalition. “Nous avons manifesté, depuis quelque temps, notre volonté de nous unir. Les leaders des partis politiques ou leurs porte-paroles incarnent cette volonté d’aller ensemble pour encadrer notre chance d’une victoire aux prochaines élections législatives. Le mode de scrutin nous l’impose. Il faudrait une large unité de l’opposition pour éviter le piège du système majoritaire dans les départements”, a-t-il prévenu.