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« Nous lançons un appel à tous les hommes et femmes épris de paix, de justice pour nous aider à trouver une solution définitive et durable à cette situation inique que la Sicap nous fait subir », a fait savoir Samsidine Sané, porte-parole du collectif des habitants.
A l’en croire, la marche de protestation est un « démenti cinglant » aux déclarations de Abdou Aziz Wone, responsable du service contentieux de la Sicap. Ce dernier, dans une émission télé, avait soutenu que les habitants de la Sicap Rue 10 (129 familles dont 1165 personnes) ont quitté sans difficulté. Selon le collectif, les habitants de Sicap Karack et Rue 10 ont été déguerpis de leurs maisons qu’ils occupent depuis 62 ans, sous le « fallacieux » prétexte de les reloger à Keur Massar Jaxaai, dans des villas construites clé en main d’une valeur de huit millions francs CFA.
Le collectif redoute le syndrome de l’Association syndicale des propriétaires et locataires qui ont accepté sous la pression un terrain et deux millions de francs CFA. Alors qu’aujourd’hui, ils vivent un véritable tsunami social car l’entrepreneur a disparu avec l’argent. C’est pourquoi, il exige d’abord, la libération du site, la construction et remise clé en main à chacun d’entre eux des villas.
Seneweb news-RP.
A l’en croire, la marche de protestation est un « démenti cinglant » aux déclarations de Abdou Aziz Wone, responsable du service contentieux de la Sicap. Ce dernier, dans une émission télé, avait soutenu que les habitants de la Sicap Rue 10 (129 familles dont 1165 personnes) ont quitté sans difficulté. Selon le collectif, les habitants de Sicap Karack et Rue 10 ont été déguerpis de leurs maisons qu’ils occupent depuis 62 ans, sous le « fallacieux » prétexte de les reloger à Keur Massar Jaxaai, dans des villas construites clé en main d’une valeur de huit millions francs CFA.
Le collectif redoute le syndrome de l’Association syndicale des propriétaires et locataires qui ont accepté sous la pression un terrain et deux millions de francs CFA. Alors qu’aujourd’hui, ils vivent un véritable tsunami social car l’entrepreneur a disparu avec l’argent. C’est pourquoi, il exige d’abord, la libération du site, la construction et remise clé en main à chacun d’entre eux des villas.
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