Autres articles
-
Bande des filaos : la Cour suprême se penche sur le décret de Macky Sall
-
GAMBIE : Le Président Diomaye explique pourquoi il a réservé sa première sortie à la Mauritanie
-
Sortie du franc CFA : ce que Felwine Sarr conseille à Diomaye Faye
-
Motion de censure : la réponse sèche d’Abdou Mbow à Moustapha Sarré
-
«94 milliards» et Prodac : la grosse annonce de l’homme qui murmure à l’oreille de Sonko
En prélude à sa convocation à la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane ce lundi, le président du parti Pastef, Ousmane Sonko fait une déclaration sur l'affaire du viol et de menaces de mort dans laquelle il est cité.
Le leader du parti Pastef, Ousmane Sonko, est attendu ce lundi dans les locaux de la Section de recherches de Colobane à 10 heures. Cette convocation fait suite à la plainte pour viol et menaces de mort déposée contre lui par la nommée Adji Sarr.
Pour rappel, lors de son audition à la Section de recherches, la plaignante avait confié aux enquêteurs que « Ousmane Sonko se présentait régulièrement en qualité de client pour des séances de massage mais à la fin, il exigeait toujours des faveurs sexuelles. Je n’arrive plus à vivre sous ses viols répétés. Je vis dans un stress perpétuel et un dégoût de mon corps ».
Elle avait également révélé que: "devant son refus d’assouvir ses pulsions", le député l’aurait un jour étranglée et contrainte à avoir des rapports sexuels avec lui.
Le leader du parti Pastef, Ousmane Sonko, est attendu ce lundi dans les locaux de la Section de recherches de Colobane à 10 heures. Cette convocation fait suite à la plainte pour viol et menaces de mort déposée contre lui par la nommée Adji Sarr.
Pour rappel, lors de son audition à la Section de recherches, la plaignante avait confié aux enquêteurs que « Ousmane Sonko se présentait régulièrement en qualité de client pour des séances de massage mais à la fin, il exigeait toujours des faveurs sexuelles. Je n’arrive plus à vivre sous ses viols répétés. Je vis dans un stress perpétuel et un dégoût de mon corps ».
Elle avait également révélé que: "devant son refus d’assouvir ses pulsions", le député l’aurait un jour étranglée et contrainte à avoir des rapports sexuels avec lui.