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Trois soldats vont comparaître à la barre du Tribunal militaire ce vendredi. Selon les informations du journal Le Témoin, il s’agit de l’adjudant I. Sagna, de sergent-chef P. Badji et du soldat de première classe S. Coly.
Accusés d’avoir «divulgué des informations sensibles et stratégiques aux chefs combattants du Mouvement des forces démocratiques de Casamance » (MFDC), les deux sous-officiers et le soldat sont inculpés par le Doyen des juges d’instruction pour «complicité d’atteinte à la sûreté de l’État, atteinte de La Défense nationale, mise en danger de la vie d’autrui, et complot contre l’autorité de l’État», renseigne la source.
Le journal précise que les faits graves ont eu lieu lors d’une opération de sécurisation dans le sud du pays : Les rebelles avec l’appui des mis en cause auraient réussi à «intercepter des conversations et autres numéros téléphoniques donnant la position des militaires» en opération en Casamance.
Selon les premiers éléments de l’enquête, poursuit le quotidien d’information, « le sergent-chef P. Badji voulait faire tomber sa section composée d’une trentaine d’hommes dans une embuscade », en leur « indiquant un itinéraire différent de celui qui mène vers le village de Djibidione» où, souligne l’accusation, «des éléments du MFDC étaient prépositionnés».
Il est reproché aux deux autres soldats des faits similaires.
Accusés d’avoir «divulgué des informations sensibles et stratégiques aux chefs combattants du Mouvement des forces démocratiques de Casamance » (MFDC), les deux sous-officiers et le soldat sont inculpés par le Doyen des juges d’instruction pour «complicité d’atteinte à la sûreté de l’État, atteinte de La Défense nationale, mise en danger de la vie d’autrui, et complot contre l’autorité de l’État», renseigne la source.
Le journal précise que les faits graves ont eu lieu lors d’une opération de sécurisation dans le sud du pays : Les rebelles avec l’appui des mis en cause auraient réussi à «intercepter des conversations et autres numéros téléphoniques donnant la position des militaires» en opération en Casamance.
Selon les premiers éléments de l’enquête, poursuit le quotidien d’information, « le sergent-chef P. Badji voulait faire tomber sa section composée d’une trentaine d’hommes dans une embuscade », en leur « indiquant un itinéraire différent de celui qui mène vers le village de Djibidione» où, souligne l’accusation, «des éléments du MFDC étaient prépositionnés».
Il est reproché aux deux autres soldats des faits similaires.