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A l’instar de la bourse familiale, la Couverture Maladie Universelle, la baisse des impôts sur le revenu, l’allégement des prix de certaines denrées de première nécessité sans oublier les mesures prises pour la réduction du train de vie dispendieux de l’Etat, Le Président de la République vient de prendre une décision salutaire sur le coût du loyer au Sénégal. Cette mesure vient assurément à son heure pour soulager les populations guillotinées par la cherté de la vie.
Depuis belle lurette ; les Sénégalais avaient toujours décrié les prix élevés de loyer sans satisfaction. De Senghor à Wade, aucun des prédécesseurs de Macky n’avait pu poser un acte concret allant dans le sens de régler cette équation nodale de la demande sociale. Macky Sall, à son arrivée à la Magistrature suprême a pris les dispositions idoines que lui confère le droit positif Sénégalais pour soulager ses compatriotes tenaillés par le coût drastique du loyer. C’est une lapalissade de dire que les locataires étaient à la merci des bailleurs. Combien est le nombre de dossiers en référée dans les tribunaux pour expulsion due à des arriérés de paiement de loyers ?
Combien de locataires sont harcelés, traqués, humiliés dans leur intimité familiale par des propriétaires de maison ou des agents immobiliers délégataires de pouvoir insoucieux de la sacralité du domaine familial ? C’est pourquoi le Mouvement Conscience Citoyenne Gêm Sa Bopp , au-delà du coté économique et financier , salue la dimension psycho-social de la mesure . Ainsi c’est la dignité et la quiétude de beaucoup de père de famille qui se trouve ainsi réhabilitées
Par conséquent, obligation doit être faite à chaque Sénégalais de saluer les actes posés par le Président de la République dans ce domaine pour satisfaire un pan entier sur la demande sociale.
Sur la question de l’Audit physique et biométrique des agents de la fonction publique, les résultats ont montré parfaitement que c’était une nécessité impérieuse pour assainir les finances publiques en matérialisant la vision du Président de la République sur la bonne gouvernance et la transparence. Plus de 454 fonctionnaires malades et 1017 invisibles physiquement mais qui percevaient indûment leur salaire à la fin du mois mettant le trésor publique sous perfusion permanente alors qu’ils ne travaillaient pas. Une bonne gestion des ressources humaines étatiques et une orthodoxie républicaine dans la gestion des deniers publiques commandaient indubitablement une telle opération. Les velléités de contestation ne manqueront pas (manifestations syndicales inopportunes et sorties médiatiques hasardeuses), mais les résultats nés de l’audit prouvent, sans aucun doute que, des agents pompaient régulièrement à la fin du mois le trésor public sans servir leur pays. L’enrichissement sans cause exige la répétition de l’indu. L’Etat payant après service rendu, dans le cas d’espèce y’avait pas de service rendu. Le dilatoire, la gabegie, les prébendes et les postes de sinécures ne nous mèneront pas sur les rampes du développement. Faisant fi de toute attaque, le gouvernement du Sénégal est déterminé plus que jamais à lutter contre la dilapidation des deniers publics. Ceux qui sont dans le panier rouge et n’ont pas de justifications légales ne méritent-ils pas de subir le même sort que ceux qui sont convoqués à la CREI ?
Le Bureau Exécutif
Depuis belle lurette ; les Sénégalais avaient toujours décrié les prix élevés de loyer sans satisfaction. De Senghor à Wade, aucun des prédécesseurs de Macky n’avait pu poser un acte concret allant dans le sens de régler cette équation nodale de la demande sociale. Macky Sall, à son arrivée à la Magistrature suprême a pris les dispositions idoines que lui confère le droit positif Sénégalais pour soulager ses compatriotes tenaillés par le coût drastique du loyer. C’est une lapalissade de dire que les locataires étaient à la merci des bailleurs. Combien est le nombre de dossiers en référée dans les tribunaux pour expulsion due à des arriérés de paiement de loyers ?
Combien de locataires sont harcelés, traqués, humiliés dans leur intimité familiale par des propriétaires de maison ou des agents immobiliers délégataires de pouvoir insoucieux de la sacralité du domaine familial ? C’est pourquoi le Mouvement Conscience Citoyenne Gêm Sa Bopp , au-delà du coté économique et financier , salue la dimension psycho-social de la mesure . Ainsi c’est la dignité et la quiétude de beaucoup de père de famille qui se trouve ainsi réhabilitées
Par conséquent, obligation doit être faite à chaque Sénégalais de saluer les actes posés par le Président de la République dans ce domaine pour satisfaire un pan entier sur la demande sociale.
Sur la question de l’Audit physique et biométrique des agents de la fonction publique, les résultats ont montré parfaitement que c’était une nécessité impérieuse pour assainir les finances publiques en matérialisant la vision du Président de la République sur la bonne gouvernance et la transparence. Plus de 454 fonctionnaires malades et 1017 invisibles physiquement mais qui percevaient indûment leur salaire à la fin du mois mettant le trésor publique sous perfusion permanente alors qu’ils ne travaillaient pas. Une bonne gestion des ressources humaines étatiques et une orthodoxie républicaine dans la gestion des deniers publiques commandaient indubitablement une telle opération. Les velléités de contestation ne manqueront pas (manifestations syndicales inopportunes et sorties médiatiques hasardeuses), mais les résultats nés de l’audit prouvent, sans aucun doute que, des agents pompaient régulièrement à la fin du mois le trésor public sans servir leur pays. L’enrichissement sans cause exige la répétition de l’indu. L’Etat payant après service rendu, dans le cas d’espèce y’avait pas de service rendu. Le dilatoire, la gabegie, les prébendes et les postes de sinécures ne nous mèneront pas sur les rampes du développement. Faisant fi de toute attaque, le gouvernement du Sénégal est déterminé plus que jamais à lutter contre la dilapidation des deniers publics. Ceux qui sont dans le panier rouge et n’ont pas de justifications légales ne méritent-ils pas de subir le même sort que ceux qui sont convoqués à la CREI ?
Le Bureau Exécutif
