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"Il ne s'est jamais intéressé à lui(Mouss Diouf). Il n'a commencé à le faire que lorsqu'il a vu son fils à la télévision, alors qu'il jouait un film(Mouss Diouf a interprété plusieurs roles au cinéma dont le plus célèbre est celui de l'inspecteur N'Guma dans la série "Julie Lescaut" sur Tf1). Il a écrit une longue lettre à Mouss Diouf que sa mère lui a transmise en lui disant qu'elle venait de son père. Moustapha lui a répondu qu'il ne connaissait pas cet homme. Il disait souvent à sa mère que j'étais son père parce que c'est moi qui l'ai élevé, qui ai tout fait pour lui et s'il y a quelqu'un qui mérite quelque chose de lui, c'est bien moi. Je lui ai répondu qu'il ne devait pas agir ainsi parce qu'après tout, Assane Diouf était son père biologique. Dans la lettre son père disait qu'il voulait que Moustapha lui achète une télévision. Mais ce dernier a refusé, arguant qu'il ne le connaissait pas. Par la suite je l'en ai dissuadé. Il a donné l'argent à son petit frère, mon propre fils, pour qu'il lui achète une télévision qu'il lui a envoyé par fret. Moustapha a toujours cru que j'étais son père biologique. Il n'a su la vérité qu'une fois à l'école. Quand il a vu que les bulletins de ses demi-frères et du tien, il n'y avait pas le même nom, il s'est révolté. En réalité quand il a découvert que je n'étais pas son vrai père, Moustapha était traumatisé",narre-t-il lors d'un entretien accordé à L'Obs.
Assane Diouf, le père biologique de Mouss Diouf réplique:"Ce n'est pas à moi d'aller vers mon fils..."
"Je reconnais que Alassane Sankaré a élevé Mouss depuis qu'il est tout petit, alors que j'avais divorcé d'avec sa mère. D'ailleurs, j'ai à plusieurs occasions fait remarquer à mon fils que son véritable papa c'était lui. Lorsque j'entreprenais des démarches pour contrecarrer les actions nébuleuses de Sandrine, l'épouse de Mouss, j'avais même proposé à M. Sankaré de le faire avec moi, mais il n'a pas répondu. Quand Mouss est décédé, il n'a même pas daigné me présenter ses condoléances. Je lui ai toujours laissé le champ libre dans sa relation avec mon fils, alors que lui faisait de tout son possible pour m'écarter de Mouss. Si je ne l'avis pas voulu, il n'aurait jamais pris mon fils sous sa tutelle. Il n'a qu'à dire pourquoi il n'a jamais essayé de lui donner son nom. Dieu sait qu'il a plus bénéficié que moi qui suis son père biologique de l'argent de Mouss. Je persiste et je signe, sa maison et sa voiture lui ont été payées par mon défunt enfant. Ce que je vous dis est vrai et j'en ai les preuves. Maintenant, s'il dit que je ne me suis jamais intéressé à Mouss durant son enfance, il n'a pas tort. J'estime que ce n'était pas à moi d'aller vers mon fils, d'autant plus qu'il vivait en France et moi au Sénégal. Il a tout fait pour me séparer de mon fils. J'ai préféré le laisser faire car Mouss vivait sous son toit..."
leral.net
Assane Diouf, le père biologique de Mouss Diouf réplique:"Ce n'est pas à moi d'aller vers mon fils..."
"Je reconnais que Alassane Sankaré a élevé Mouss depuis qu'il est tout petit, alors que j'avais divorcé d'avec sa mère. D'ailleurs, j'ai à plusieurs occasions fait remarquer à mon fils que son véritable papa c'était lui. Lorsque j'entreprenais des démarches pour contrecarrer les actions nébuleuses de Sandrine, l'épouse de Mouss, j'avais même proposé à M. Sankaré de le faire avec moi, mais il n'a pas répondu. Quand Mouss est décédé, il n'a même pas daigné me présenter ses condoléances. Je lui ai toujours laissé le champ libre dans sa relation avec mon fils, alors que lui faisait de tout son possible pour m'écarter de Mouss. Si je ne l'avis pas voulu, il n'aurait jamais pris mon fils sous sa tutelle. Il n'a qu'à dire pourquoi il n'a jamais essayé de lui donner son nom. Dieu sait qu'il a plus bénéficié que moi qui suis son père biologique de l'argent de Mouss. Je persiste et je signe, sa maison et sa voiture lui ont été payées par mon défunt enfant. Ce que je vous dis est vrai et j'en ai les preuves. Maintenant, s'il dit que je ne me suis jamais intéressé à Mouss durant son enfance, il n'a pas tort. J'estime que ce n'était pas à moi d'aller vers mon fils, d'autant plus qu'il vivait en France et moi au Sénégal. Il a tout fait pour me séparer de mon fils. J'ai préféré le laisser faire car Mouss vivait sous son toit..."
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