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«Ce ne sont pas les menaces ou les maraboutages qui nous feront reculer», jure Mme Touré. La confrontation ne saurait non plus prospérer pour échapper à la justice. «Ce n’est pas la peine d’inciter aux troubles à l’ordre public ou de créer des attroupements», insiste le Garde des sceaux, allusion faite au rassemblement du Pds prévu aujourd’hui à la place de l’Obélisque. «Nous sommes dans un Etat de droit où la sécurité des biens et des personnes nous incombe.
Donc, nous serons intransigeants sur cette question», prévient le ministre avant d’appeler à la responsabilité. «Ce que je conseille à tous, c’est de déférer aux convocations si elles vous sont envoyées», recommande-t-elle. Sur la répression, Madame le ministre a laissé entendre qu’elle ne sera pas forcément pénale. «S’il est prouvé que quelqu’un a pris des deniers publics et qu’il décide de restituer la somme, on pourra faire preuve de clémence et le laisser partir», rassure-t-elle. Mme Touré a d’ailleurs confirmé la plainte contre X déposée à Paris contre d’anciens dignitaires du régime libéral. «Nous avons de forts soupçons qu’une partie de l’argent en cause a été certainement investie en France. Nous espérons qu’une information judiciaire sera ouverte et que la justice entendra qui de droit», attend Mme Touré.
lequotidien