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Le "kersa" et le "sutura" qui ont comme principal maître mot "la discrétion" sont érigés en valeur au Sénégal. Et c'est ce que défend Jamra. Il ne faudrait pas habituer à la société par le biais de l'image des choses qu'elle a toujours voulu caché. Une position qui est du moins claire
Mais elle s'oppose à l'essence même de la création artistique propre à l'industrie cinématographique: la liberté d'expression. Finalement toutes question de société. Dans certains pays du monde une accusation de perversion des moeurs de "maîtresse d'un homme marié" aurait fait rire. Au Sénégal c'est tout le contraire.