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AFFAIRE TOTAL, SCANDALE PETROTIM, BRADAGE DES RESSOURCES DU PAYS, ÉTHIQUE EN POLITIQUE… : Thierno Alassane Sall crache du feu sur Macky Sall et déballe


Mardi 13 Novembre 2018

L’affaire Total n’a été qu’un écran de fumée, mais la véritable raison du divorce entre Thierno Alassane Sall et Macky Sall est à chercher dans l’affaire Petrotim. L’ancien ministre de l’Energie l’a révélé dans cet entretien accordé à «Les Echos». Entretien au cours duquel il est revenu largement sur les deux affaires, avec les positions prises par le chef de l’Etat sur le sujet. Déplorant la gestion actuelle du pays, l’ancien apériste affirme qu’on est loin des idéaux de départ, comme «dekkal ngor», «patrie avant le partie». Pire, il note que si le régime de Wade commettait des dérives à un rythme artisanal, celui de Macky Sall en commet à un rythme industriel. Première partie d’un entretien riche en révélations…


Les Echos : Vous avez créé un parti dénommé «La République des Valeurs», c’est en référence à quoi ou par allusion à quoi ?        Thierno Alassane Sall : Nous considérons aujourd’hui qu’au Sénégal, l’engagement politique n’est pas généralement fondé sur des valeurs universelles intangibles, qui dépassent les personnes et les contingences politiques et qui n’ont pour vocation que l’intérêt supérieur de la nation et leur longue portée historique. C’est pour cette raison que nous pensons que notre plus grand mal, ce n’est pas l’absence de programmes et de visions politiques, mais plutôt l’absence de référentiels solides, acceptés de tous, partagés par tous et qui font que certaines choses sont inacceptables, non envisageables, et que certaines fautes sont intolérables dans une république.         Mais, avez-vous toujours défendu cela ?     Ça a toujours été notre credo. Souvenez-vous que, quand on parlait de l’Apr, on parlait surtout de «dekkal ngor», de «la patrie avant le parti», des ruptures par rapport à des éléments fondamentaux. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil, en vérité. Et en réalité, il n’y a rien de nouveau. Les grandes démocraties mondiales ont ceci de particulier qu’il y a des valeurs non inscrites dans leurs chartes et lois, mais qui constituent autant de lignes rouges à ne pas franchir. Et une fois qu’on pousse les gens à franchir ces codes d’honneur non-inscrits, ils démissionnent. Et cela n’est pas nouveau, c’est depuis le début de la démocratie, en Grèce. Des gens se sont suicidés pour beaucoup moins que ce que l’on voit dans nos États. Sous ce rapport, notre pays est dans un état de sous-développement.        C’est cela qui a motivé votre démission ?        En grande partie, oui. Nous sommes allés à l’Apr avec enthousiasme. Nous avons cru à ces grands idéaux de rupture, de démocratie, de «dekkal ngor», de renouveau de notre pays. Malheureusement, à la pratique, dès le premier temps, on s’est aperçu de la réalpolitique version sénégalaise et africaine, qui consiste au tripatouillage des Constitutions, en la patrimonialisation de l’Etat et du service public par quelques individus, en des pratiques inavouables, juste pour se maintenir au pouvoir, sans aucune honte, sans aucune forme de dignité et de personnalité. Des choses qu’un gentleman ne ferait pas. Le constat de tout cela s’est imposé à nous assez vite. C’est pourquoi je suis sorti du gouvernement. Immédiatement après, j’ai rejoint mes fonctions à l’Asecna pour marquer une année sabbatique et montrer que je ne suis pas un homme politique au sens qu’on en donne.        Et qu’est-ce qui a expliqué votre retour au gouvernement ?        Même la première fois, quand je suis allé à l’Apr, ce n’est pas parce que c’était l’option idéale. Il faut apprendre à faire des compromis, à faire preuve de souplesse. Contrairement à ce que les gens me reprochent souvent, je suis capable de beaucoup de souplesse et de compréhension par rapport à une situation donnée. L’Apr n’était pas mon parti de cœur par essence. Parce que moi, je suis fondamentalement un homme de gauche. Mais je comprends aussi que la vie est faite de sortes de tolérance, de patience, pour qu’on atteigne petit à petit l’idéal qu’on cherche.        C’était donc par compromis que vous étiez retourné au gouvernement ?        Je suis retourné au gouvernement, pensant que rien n’était trop tard et qu’on pouvait encore sauver l’essentiel. J’avais encore l’illusion que certains camarades étaient capables de se ressaisir. Je pensais aussi que le président de la République, puisqu’on s’était séparé sur la base d’un constat de différences fondamentales de vue et de caractère sur certaines choses, comprendrait que moi mon caractère est trempé et que lui, de son côté aussi, il y a des choses qu’il accepterait plus facilement. Peut-être lui aussi, s’est fait la même lecture sur moi, à savoir que la traversée du désert m’amènerait à être plus flexible et plus malléable. Je crois que là-dessus, il y a un hiatus fondamental. Parce que dès les premiers mois, j’ai dû me rendre à l’évidence que les choses n’avaient pas changé fondamentalement, sous le rapport que la pratique gouvernementale était en train de dériver davantage.        Ne pensez-vous pas que parfois il faut essayer de changer les choses de l’intérieur?        Mais, curieusement, beaucoup me reprochaient, parmi les plus radicaux, d’avoir trop duré dans le gouvernement. La vie, c’est fait d’appréciations, mais surtout de lignes rouges qu’on ne peut pas franchir. Il faut se rendre à l’évidence que dans notre système, le président de la République a tous les pouvoirs. Quand tu n’as pas la capacité d’écoute, la volonté de partage, d’ouverture, c’est peine perdue.        Donc le Président n’écoute pas et ne partage pas ?        Les conditions même dans lesquelles je suis parti le prouvent à satiété. Je n’ai pas demandé la mer à boire, mais seulement de préserver les intérêts supérieurs de la nation.        Et vous croyez que vous défendez mieux les intérêts de la nation que le Président ?        Ce n’est pas une question de poids. Je veux qu’on s’en tienne aux faits. Il y a eu des faits ; j’ai eu mon appréciation, lui aussi, il a eu son appréciation. Ce que je pense être les intérêts supérieurs de la nation, je suis libre d’y croire en tant que citoyen et en tant qu’homme politique.        Les faits, c’est que vous avez démissionné parce qu’on a donné un bloc à Total. Qu’est-ce qui s’est passé ?        Au fait, c’est plus compliqué que ça. Le fin mot de l’histoire, c’est qu’il y a eu, peut-être, une période d’un mois où il y avait des tensions assez grandes entre la tutelle exécutive et moi, le ministre, sur un certain nombre de points, y compris le contrat de Total, qui est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Ça aurait pu être une semaine auparavant, sur une autre question, par exemple, la question de l’approbation des conditions dans lesquelles Timis est sorti du bloc. Donc c’est une divergence de vue sur un ensemble de choses qui a rendu impossible une cohabitation.        Qu’est-ce qui s’est passé ?        En fait, l’offre de Total, telle qu’elle a été formulée, a été beaucoup moins intéressante. Total a été classée 5èmepar rapport à Bp, Kosmos et d’autres qui étaient là. Et la structure de l’offre aussi était de loin moins intéressante et constitue même un recul par rapport à des contrats qui ont été signés en 2011, 2009, 2004, avant même les découvertes de pétrole. Alors, dans un contexte où on devient bientôt producteur de gaz et de pétrole, on doit se dire que les blocs qui nous restent, nous devons les négocier avec une cote beaucoup plus attractive. Si on doit donner, on ne doit pas brader, dans des conditions moins bonnes ou pires que les conditions d’avant les découvertes. Et ça, je vous demande simplement de comparer, puisque les contrats sont dans le site du gouvernement.        Vous accusez le Président de brader les ressources du pays ?         Encore une fois, il s’agit de faits irréfragables et intangibles. Il vous est loisible de prendre les éléments. Le problème au Sénégal, justement, c’est de limiter la question à Thierno Sall et Macky Sall. Moi ce que je vous ai dit est simple : il m’a été donné de refuser de signer un contrat qui, dans ses termes, était de loin moins avantageux que des contrats qui existent et qui existaient depuis longtemps. J’ai refusé, le Président l’a signé, le Premier ministre l’a contresigné. Cela, chacun peut en tirer sa conclusion. Que les intellectuels, du moins certains intellectuels, prompts à donner des leçons, en viennent aux faits. J’entends aussi une partie de la gauche dire qu’il faut qu’on arrête de discuter, de spéculer, alors qu’ils ont tellement chargé les régimes précédents sur des questions beaucoup moins substantielles. Les gens doivent prendre le temps de consulter les deux contrats. C’est écrit en français simple et facile. Regardez l’article 22 du contrat de Petrotim, de Far Limited, sur le bloc de Sangomar et regardez l’article 22 du contrat signé avec Total, vous verrez la différence. C’est de la mathématique de la classe de Cem2. Il ne s’agit pas de pétrole ou de gaz ; il s’agit de partage de production. Combien le Sénégal gagne ; combien l’autre gagne. On voit, en comparant les offres, que l’offre qui a été finalement retenue était loin derrière des offres bien meilleures. Et en plus, l’histoire me donne raison, dans la mesure où Total a partagé, pour ainsi dire, a vendu à Petronas 30%. C’est ce qu’on disait. On est un pays potentiel producteur de pétrole et tout le monde accourt. On n’est pas obligé de se référer aux conditions de l’époque où on n’était pas attractif.  Mais si on s’en tient au code en vigueur actuellement, si on doit vendre, vendons au moins aux mêmes conditions existantes. Ce n’est pas un problème de ministre. C’est un problème de responsabilités. Chacun est responsable devant les Sénégalais, devant Dieu et les hommes.        Vous avez évoqué les conditions de sortie de Timis qui auraient pu être la cause directe de votre départ, que s’est-il passé avec Timis ?        Au départ il y avait ce différend sur les appréciations de la situation dans laquelle Timis devait demeurer dans notre pays, avec un permis obtenu dans des conditions tout à fait illégales. Il est avéré maintenant que les conditions dans lesquelles Timis est entré, c’est entre les deux tours de la présidentielle. Et que Timis a bénéficié d’un contrat qui a pu être antidaté, parce que signé en mars 2012, mais qui est daté du 17 janvier 2012, alors même que Petrotim a été créée le 19 janvier 2012, soit deux jours après.         Vous avez dit que le cas Timis est plus scandaleux que le cas Total…        La presse a fait que les gens ont eu écho du rapport de l’Inspection générale d’Etat, dont je n’avais pas connaissance quand j’étais ministre. Il est avéré que Petrotim a bénéficié d’un contrat en 2012, signé entre les deux tours, mais antidaté le 17 janvier 2012. Il est établi que Petrotim a été créée le 19 janvier. Donc, au moment où on signait le contrat, Petrotim n’existait pas. Il est établi que Petrotim et Petroasia, sa maison mère, venaient de naître et n’avaient ni les capacités techniques, ni les capacités financières. Le rapport l’a établi de manière très claire. Mais, à l’époque, je n’avais pas tous les éléments. Je me suis donné une idée de la situation en regardant le dossier de Timis et en regardant Timis travailler pendant un an à un an et demi. N’avoir rien investi, et vouloir partir dans des conditions où elle rafle la timbale, ça me semblait être quelque chose qu’on ne devrait pas accepter. Même si on est un pays pauvre, on veut que notre pétrole, nos gisements servent à ceux qui ont fait effectivement des investissements, en exécutant des tâches réelles pour pouvoir découvrir du pétrole ou du gaz, et non à des sociétés fictives, venues faire de la spéculation financière.  C’est connu par les autorités ; parce que le rapport de l’Inspection générale d’Etat dont je parle date de septembre 2012. Et Petrotim a continué à être dans notre pétrole jusqu’en 2017. Et Timis a voulu sortir dans des conditions qui justifient peut-être les clauses de confidentialité qu’on veut introduire a postériori dans le contrat. Ce sont des conditions financières qui devraient être connues des Sénégalais. On doit demander à l’Etat de révéler les conditions dans lesquelles Petrotim a été amenée à partir.           En tant qu’ancien ministre vous connaissez ces conditions. Pourquoi ne les révélez-vous pas ?       




1.Posté par dossou dossou le 15/11/2018 17:30
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2.Posté par dossou dossou le 15/11/2018 17:36
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3.Posté par sabine le 18/11/2018 13:50
Témoignage de retour affectif rapide

Bonsoir ! Je m’appelle maeva, je veux partager avec vous mon histoire. Il y a de cela 3 mois environ, c'était le calvaire dans mon foyer. Les disputes entre mon mari et moi se répétaient jusqu'au qu'au jour ou il quitta la maison. Suite à cela j'en ai palé avec une amie qui m'a donné les coordonnés d'un marabout tres puissant à qui je devait m'expliquer. Comme j'aime mon mari j'ai contacté ce marabout qui m'a promis de me le faire revenir à la maison. J'ai donc suivie ces conseils et également fait des rituels. Exactement 3 jour après mon époux est revenu en me suppliant de lui pardonner pour tout ce qu'il a pu me fait et bien sur on s'est réconcilié. Ce fut un véritable miracle dans ma vie. Alors pour tous vos problèmes (ruptures amoureuses ou de divorce, maladies, chance, stérilité, problème de blocage, d'attirance de clientèle, problème de chômage etc...) je vous conseille de faire comme moi. Je vous assure que vous trouveriez satisfaction ou résolution à vos problèmes. Pour cela voici ses coordonnées :voici sont contacte
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4.Posté par vivianne le 18/11/2018 14:02
Je me nomme Christiana, j'habite RIGGARGATAN 16 D, GALVE ,80286, SWE. j'ai pas l'habitude d'ecrire mon veçu sur les forums mais cette fois-ci c'est la goute d'eau qui a débordé la vase.

En effet mon homme avec qui j'ai fais 7 années de relation conjugal ou nous avons eu 2 enfants me laissa pour une autre et mieux il se sont installé ensemble, 2 mois sans nouvelles c'est ainsi j'ai parlé de ma situation a ma collègue de service qui me donna le contact du Maitre marabout FADE dès que je l'ai contacter et expliqué ma situation il promis de dormir a tête reposé en 3 jours mon homme est revenu à la maison et très amoureux de moi ...(pour tous vos petit problème de rupture amoureuses ou de divorce ,maladie ,la chance , gagner au jeux de loto , les problèmes liés a votre personnes d'une manière, les maux de ventre, problème d'enfants, problème de blocage, attirance clientèle, problème du travail ou d'une autres) voici le contact du maitre marabout FADE vous pouvez l'appelez directement ou l'ecris sur son wathsaap ou mail , il est joignable
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5.Posté par dani le 19/11/2018 09:03
Bonsoir !
Je m’appelle DANI, je veux partager avec vous mon histoire. Il y a de cela 3 mois environ, c'était le calvaire dans mon foyer. Les disputes entre mon mari et moi se répétaient jusqu'au qu'au jour ou il quitta la maison. Suite à cela j'en ai parlé avec une amie qui m'a donné les coordonnés d'un maitre tres puissant à qui je devais m'expliquer. Comme j'aime mon mari j'ai contacté ce maitre qui m'a promis de me le faire revenir à la maison. J'ai donc suivie ces conseils et également fait des travaux. Exactement 3 jour après mon époux est revenu en me suppliant de lui pardonner pour tout ce qu'il a pu me fait et bien sur on s'est réconcilié et aujourd'hui il m'a demander en mariage. Ce fut un véritable miracle dans ma vie. Alors pour tous vos problèmes je vous conseille de faire comme moi.
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