Autres articles
-
Visite d’amitié de Bassirou Diomaye Faye à Abidjan : Ce que les présidents sénégalais et ivoirien se sont dit
-
Visite de Jean-Luc Mélenchon à Dakar : Un message très clair de Diomaye - Sonko à Emmanuel Macron ?
-
Nominations : Le Pr. Diomaye remplace les Dg de l'Artp, du Coud, de la Sar, du Fonsis...
-
Réforme des institutions : Le président Faye invité à appliquer les recommandations du "Pacte national de bonne gouvernance démocratique"
-
Bande des filaos : la Cour suprême se penche sur le décret de Macky Sall
Au lieu d’être la voie royale pour se mettre au service de son peuple, servir l’intérêt général, le PDS s’apparente plutôt à se servir du peuple pour des intérêts personnels et égoïstes. Dans ces conditions, il est tout à fait logique et légitime de suspecter la bonne foi du camp présidentiel qui ne veut pas céder la place, surtout que la loi fondamentale de notre pays le lui exige.
Pire, il en trouve même qui ne veulent pas organiser des élections propres. Le président aurait dû attribuer le poste de ministère chargé des élections à un militaire neutre Ou lorsqu’il consente à le faire, sous la pression des bailleurs de fonds occidentaux, il semble y aller seul et dans des conditions catastrophiques.
Au Togo et au Burkina, l’ambiance qui a précédé les dernières élections qui se sont déroulées dans ces pays n’est-elle pas la preuve d’un « triomphe sans gloire » qui finit par ronger l’intérêt même des consultations électorales ? A quoi sert d’organiser des élections si on connaît, à l’avance, celui qui va les remporter ?
Onze années après le lancement au forceps du processus de l’alternance démocratiques dans notre pays, on n’est pas sorti de l’auberge.
A chaque fois que la période électorale s’approche, tout se passe comme si le train de l’Etat abordait un virage dangereux.
Lorsque le président sortant use de tous les subterfuges pour demeurer l’éternel maître à bord, il faut craindre nécessairement le pire. Pendant ce temps, le désenchantement politique est garanti.
A D
Pire, il en trouve même qui ne veulent pas organiser des élections propres. Le président aurait dû attribuer le poste de ministère chargé des élections à un militaire neutre Ou lorsqu’il consente à le faire, sous la pression des bailleurs de fonds occidentaux, il semble y aller seul et dans des conditions catastrophiques.
Au Togo et au Burkina, l’ambiance qui a précédé les dernières élections qui se sont déroulées dans ces pays n’est-elle pas la preuve d’un « triomphe sans gloire » qui finit par ronger l’intérêt même des consultations électorales ? A quoi sert d’organiser des élections si on connaît, à l’avance, celui qui va les remporter ?
Onze années après le lancement au forceps du processus de l’alternance démocratiques dans notre pays, on n’est pas sorti de l’auberge.
A chaque fois que la période électorale s’approche, tout se passe comme si le train de l’Etat abordait un virage dangereux.
Lorsque le président sortant use de tous les subterfuges pour demeurer l’éternel maître à bord, il faut craindre nécessairement le pire. Pendant ce temps, le désenchantement politique est garanti.
A D