Autres articles
-
Sur les 52 nominations du Conseil des ministres de ce mercredi, une a particulièrement retenu l’attention des médias. «Monsieur Lamine Barra Lô […] est nommé directeur général de l’Office national de formation professionnelle (ONFP), en remplacement
-
42 hommes et 10 femmes : Voici la liste des nouvelles nominations en Conseil des ministres
-
Chantiers de réparation navale : le verdict est tombé, ce qui va se passer
-
100% électrique, 300 000 passagers par jour, 420 milliards F CFA : Tout savoir sur la révolution BRT
-
Bus Rapide Transit : Le directeur du CETUD explique sa mise en exploitation progressive
Ces troupes d’élite ont été positionnées précisément à Toubacouta. Elles sont « en alerte et en attente de l’évolution de la situation sécuritaire en Gambie » où vit une forte communauté sénégalaise.
Premier pays à réagir après la déclaration de Yaya Jammeh rejetant sa défaite à la présidentielle gambienne, le Sénégal a affiché une grande fermeté. Par la voix du ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Mankeur Ndiaye, Dakar a prévenu : « Ce qui se passe est inacceptable, le Sénégal met encore une fois en garde le Président Yaya Jammeh et son gouvernement contre toute atteinte à la sécurité de tous les Sénégalais. »
Le chef de la diplomatie sénégalaise a exigé que Jammeh « respecte sans condition le choix démocratique librement exprimé par le peuple gambien, qu’il organise la transmission pacifique du pouvoir et qu’il assure la sécurité et l’intégrité physique du président nouvellement élu ».
En outre le Sénégal, qui préside l’organe onusien, a demandé hier soir, « une réunion en urgence du Conseil de sécurité des Nations-Unies » et invité l’Union africaine et à la Cedeao à se saisir du dossier.
Arrivé en Gambie ce samedi, l’avion de la Présidente libérienne, Ellen Johnson Sirleaf, présidente en exercice de la Cedeao, n’a pas été autorisé à se poser à l’aéroport de Banjul, la capitale. Sirleaf devait, avec le président nigérian, Muhammadu Buhari, entrer en contact avec Jammeh, histoire de le convaincre de rendre le pouvoir.
SeneWeb News
Premier pays à réagir après la déclaration de Yaya Jammeh rejetant sa défaite à la présidentielle gambienne, le Sénégal a affiché une grande fermeté. Par la voix du ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Mankeur Ndiaye, Dakar a prévenu : « Ce qui se passe est inacceptable, le Sénégal met encore une fois en garde le Président Yaya Jammeh et son gouvernement contre toute atteinte à la sécurité de tous les Sénégalais. »
Le chef de la diplomatie sénégalaise a exigé que Jammeh « respecte sans condition le choix démocratique librement exprimé par le peuple gambien, qu’il organise la transmission pacifique du pouvoir et qu’il assure la sécurité et l’intégrité physique du président nouvellement élu ».
En outre le Sénégal, qui préside l’organe onusien, a demandé hier soir, « une réunion en urgence du Conseil de sécurité des Nations-Unies » et invité l’Union africaine et à la Cedeao à se saisir du dossier.
Arrivé en Gambie ce samedi, l’avion de la Présidente libérienne, Ellen Johnson Sirleaf, présidente en exercice de la Cedeao, n’a pas été autorisé à se poser à l’aéroport de Banjul, la capitale. Sirleaf devait, avec le président nigérian, Muhammadu Buhari, entrer en contact avec Jammeh, histoire de le convaincre de rendre le pouvoir.
SeneWeb News