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Comme nous le révélions hier, les amis de Lamine Diack se sont mobilisés pour
payer sa caution qui est de 500.000 euros (327,9 millions FCfa). En vérité, Lamine Diack s’est acquitté de ce montant non pas pour espérer obtenir une autorisation de sortie du territoire français mais pour éviter une… détention provisoire.
Dans cette affaire, il semble de plus en plus évident que le parquet financier, à l’origine des poursuites, veuille coûte que coûte l’humilier. Selon les informations de Libération, le parquet financier de Paris avait exigé que l’ancien président de l’IAAF s’acquitte d’une caution de 500.000 euros, à défaut de quoi, il avait requis son incarcération provisoire.
Pourtant, cette caution avait été fixée à 140.000 euros (68,2 millions FCfa) par le juge du Pôle financier qui avait mis en examen Lamine Diack avant de le placer sous contrôle judiciaire là où le parquet financier réclamait la… détention.
Mis sur le fait, le parquet avait fait appel devant la Chambre d’instruction (Cour d’appel) de Paris pour que le montant de la caution soit revu à la hausse.
Malgré les arguments brandis par la défense de Diack, la Chambre d’instruction a suivi le parquet financier qui estimait que l’ancien patron de l’IAAF avait les moyens de s’acquitter de la caution fixée à 500.000 euros.
Fort de cette donne, le parquet financier a exigé le paiement de cette consignation sous peine de décerner un mandat de dépôt. Les amis de Diack qui se sont mobilisés pour déposer cette caution auprès du parquet financier étaient sans doute au courant de ce qui se pré- parait.
Il faut dire que dans cette affaire, la démarche du parquet financier est de plus en plus décriée. Sur ordre des services de Eliane Houlette, patronne du parquet financier, Lamine Diack avait été cueilli comme un mal propre à l’hôtel Sheraton de Roissy et embarqué vers la brigade financière sise à Nanterre.
Ensuite, les détails de sa première audition se sont retrouvés en intégralité dans la presse française après les sorties publiques du parquet financier sur un dossier pourtant en instruction. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle lors de sa deuxième audition, Lamine Diack a exercé son droit au silence en refusant de répondre aux questions des juges du Pôle financier.
Libération
payer sa caution qui est de 500.000 euros (327,9 millions FCfa). En vérité, Lamine Diack s’est acquitté de ce montant non pas pour espérer obtenir une autorisation de sortie du territoire français mais pour éviter une… détention provisoire.
Dans cette affaire, il semble de plus en plus évident que le parquet financier, à l’origine des poursuites, veuille coûte que coûte l’humilier. Selon les informations de Libération, le parquet financier de Paris avait exigé que l’ancien président de l’IAAF s’acquitte d’une caution de 500.000 euros, à défaut de quoi, il avait requis son incarcération provisoire.
Pourtant, cette caution avait été fixée à 140.000 euros (68,2 millions FCfa) par le juge du Pôle financier qui avait mis en examen Lamine Diack avant de le placer sous contrôle judiciaire là où le parquet financier réclamait la… détention.
Mis sur le fait, le parquet avait fait appel devant la Chambre d’instruction (Cour d’appel) de Paris pour que le montant de la caution soit revu à la hausse.
Malgré les arguments brandis par la défense de Diack, la Chambre d’instruction a suivi le parquet financier qui estimait que l’ancien patron de l’IAAF avait les moyens de s’acquitter de la caution fixée à 500.000 euros.
Fort de cette donne, le parquet financier a exigé le paiement de cette consignation sous peine de décerner un mandat de dépôt. Les amis de Diack qui se sont mobilisés pour déposer cette caution auprès du parquet financier étaient sans doute au courant de ce qui se pré- parait.
Il faut dire que dans cette affaire, la démarche du parquet financier est de plus en plus décriée. Sur ordre des services de Eliane Houlette, patronne du parquet financier, Lamine Diack avait été cueilli comme un mal propre à l’hôtel Sheraton de Roissy et embarqué vers la brigade financière sise à Nanterre.
Ensuite, les détails de sa première audition se sont retrouvés en intégralité dans la presse française après les sorties publiques du parquet financier sur un dossier pourtant en instruction. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle lors de sa deuxième audition, Lamine Diack a exercé son droit au silence en refusant de répondre aux questions des juges du Pôle financier.
Libération
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