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Lors des préparatifs d’un combat de lutte, le Cng s’est toujours signalé, en rappelant aux lutteurs les règles de l’art. Celles-ci sont souvent tombées dans l’oreille de clients sourds, explique La Tribune.En 2011 par exemple, le face-à-face entre Balla Gaye 2 et Yékini, qui avait eu lieu dans un hôtel la capitale, a été malheureusement émaillé de violences.
Des lutteurs accompagnants, ont été blessés au cours d’une bataille rangée. Les auteurs de ces actes, n’ont jamais été identifiés ou sanctionnés.La même année, Gouy-gui et Ama Baldé se sont offert en spectacle lors d’un face-à-face. Cette même scène a été répétée lors du triplex, en prélude au combat entre Modou Lô et Gris Bordeaux, sur les Allées du Centenaire.La goutte d’eau qui va faire déborder le vase, a été sans doute notée après le combat qui opposa Zoss à Boy Niang 2.
Ce dernier avait machinalement donné un coup de poing au lutteur des Parcelles. Il fut évacué à l’étranger, pour les besoins d’un bon traitement, ce qui a valu une sévère sanction au lutteur de Pikine, avant que le Cng ne revienne sur sa décision, après moult médiations, pour adoucir la sanction.