Vidéo – Les politiques déclarés persona non grata – Mamouth Saleh, représentant le chef de l’Etat privé de parole

La colère des fidèles musulmans scandant «Allahou Akbar, Lahila illalah», a été telle que les politiques sont déclarés persona non grata. Lors que l’un des membres des combattants de l’islam, en l’occurrence le journaliste Mouhamed Barro qui ont organisé le rassemblement est monté à la tribune pour informer de la présence de Mamouth Saleh et d’autres représentants de partis politiques, des huées ont interrompu sa prise de parole. De sources concordantes, «c’est à cause de cette furie de la foule qu’aucun politique n’a pris la parole.
Des pancartes pour vilipender Charlie et défendre le Prophète (Psl)…

«J’aime Mohamed, Paix et Salut sur lui », «Nous sommes tous des Mohamed, «Mohamed notre raison de vivre », «Nous ne sommes pas Charlie, nous sommes Mohamed», sont entre autres messages que l’on pouvait lire sur des pancartes des manifestants. Oustaz Alioune Sall, Baba Tandjan, Serigne Abdou Samath Mbacké au nom de tous les foyers religieux, Mouhamed Ka, chercheur islamique, imam Ismaïla Ndiaye, Cherif Mballo, Mouhamed Barro et Mansour Ndiaye, ont, tour à tour fustigé l’attitude des journalistes de Charlie Hebdo. Ils ont tous fait savoir à la France et à son Président que «le Sénégal n’acceptera plus que le Prophète Mohamed soit l’objet de caricatures dans son payse.
C’est ainsi, qu’ils ont demandé aux autorités sénégalaises, précisément le chef de l’Etat de se démarquer du comportement de la France qui a laissé les journalistes de Charlie hebdo récidiver en tirant à plus de trois millions d’exemplaires les caricatures de Mohamed.
Pour Oustaz Alioune Sall qui a été l’attraction de cette manifestation, «il faut dire à Hollande que celui qui veut la paix avec nous, doit respecter notre religion, à travers son Prophète», a-t-il ordonné. Oustaz Sall ne démord pas. «Que Charlie meurt», lance-t-il devant une foule surexcitée pour défendre le Prophète de l’islam.


GFM