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Dans son programme, il explique vouloir maintenir ce déficit public sous les 3% mais sans chercher l'équilibre des finances publiques lors du prochain quinquennat. Face à la gauche, le programme du candidat de la droite, François Fillon, est une "vaste purge", a-t-il dit. "Le programme de la droite, c'est punir les Français, c'est donc une mécanique implacable de la désunion comme notre pays n'en aurait jamais connue au cours des dernières décennies." "La gauche doit gagner car la France a besoin de progrès, de justice sociale", a-t-il poursuivi Manuel Valls.
Toujours sur le front économique, il dit vouloir poursuivre la baisse des prélèvements obligatoires pour les classes moyennes et modestes, confirme vouloir défiscaliser les heures supplémentaires et créer un "revenu décent" en fusionnant les minima sociaux existants. En attendant une conférence de "refondation" de l'Europe qu'il appelle de ses voeux, Manuel Valls a souhaité une pause dans l'élargissement de l'Union et estimé que la Turquie n'avait "pas vocation" à l'intégrer. Il a ajouté qu'il souhaitait porter le budget de la Défense à 2% du PIB en 2025, créer 1.000 postes de policiers et de gendarmes par an, et sur la totalité du quinquennat, 1.000 postes de magistrats, 1.500 de greffiers et créer 10.000 places de prison.
(Jean-Baptiste Vey, édité par Yves Clarisse)