Autres articles
-
Côte d’Ivoire : la présidentielle de « 2025 ne se fera pas sans moi » (Blé Goudé)
-
L’or a le vent en poupe : Une bonne nouvelle pour les putschistes Traoré et Goita
-
Niger : Niamey expose les dessous de la visite d’une délégation américaine dans le pays
-
Présidentielle : La Cour suprême rejette les recours de Karim Wade et Cie
-
La Cour suprême suspend une loi controversée du Texas criminalisant l'immigration clandestine
Cette formation ambitionne de permettre aux participants de bien s’approprier le système d’information sur la situation alimentaire et nutritionnelle des ménages, appelé "Eco-agris".
"La mise œuvre de ce système d’information requiert une formation des cadres et partenaires de la composante, notamment les membres du comité technique et de l’Unité nationale de gestion des données de chaque pays", a expliqué Jean Claude Ouédrago, expert des bases de données sur le projet "Eco-agris".
S’entretenant avec des journalistes, en marge de cette session, il a dit que cet atelier devrait également permettre aux points focaux sectoriels de comprendre l’architecture technique du système éco-agris et le flux des données, de configurer les produits gérés par chaque système et les fiches de collecte des données.
"Il permet aussi de gérer les utilisateurs du système en créant des profils adéquat pour une bonne utilisation du système, d’avoir des outils de contrôle appropriés pour assurer la fiabilité des données à travers la tenue régulière de réunions de concertation et de validation", a ajouté M. Ouédrago.
Ce système d’information, selon lui, vise à orienter les décisions pour les besoins des populations en termes de céréales et de finances.
"A partir de ces informations", des décisions devront être prises, "pour venir en aide aux populations", a indiqué Jean Claude Ouédrago.
Cette formation dédiée aux pays francophones, sera suivie d’une autre qui se tiendra du 12 au 16 décembre 2016 à Abuja, au Nigéria, profit des anglophones.
SBS/BK