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A 11 h 30 mn, la dépouille mortelle est portée sous terre à une cinquantaine de mètre de l’entrée du cimetière écrit Sud Quotidien. L’atmosphère est lourde et glaciale. Certaines personnes cachent difficilement leur souffrance derrière de grosses lunettes noires, des prières formulées pour le repos de son âme. En dépit de la douleur qui l'étreint, son père Babacar Sall s'est confié à l'Observateur.
Pour témoigner sur son fils, Babacar Sall dira: " j'ai du mal à trouver les mots qu'il faut pour expliquer ce que je ressens (...) Assane était le dépositaire de vertus cardinales rarissimes chez les jeunes de son âge(...). Ce n'est qu'à la suite de sa mort que je me suis fait une idée de sa véritable personnalité. Il ne fumait pas et ne buvait pas. Son élégance, sa piété et ses compétences ont été maintes fois louées par son directeur général. A l'image du Prophète Mouhammad( Que la paix soit sur lui), Assane jeûnait tous les lundis et les jeudis(...)."
Dans les colonnes du Sud quotidien, ses amis n'ont pas manqué de faire des témoignages.
Birane Dieng confie: «ceux qui l’ont tué ne sont pas des musulmans». C’est un ami désemparé qui vient de condamner les actes de terrorisme perpétrés sur leurs frères musulman. Pour lui c’est la mort qui les a séparées. «C’est lui qui est parti demandé la main de ma femme, il y a de cela 1 mois. C’est pour vous dire comment on est complice. C’était un homme pieux et qui conseillait tout le monde sur le droit chemin», a-t-il lancé.
Son ami de révéler: «Assane avait senti qu’il allait partir. La veille de son départ il disait qu’il n’était pas en forme car le Mali est un pays instable. Il cherchait un vol allé et retour pour ne pas durer. Il est parti le jeudi, il a passé une nuit et l’attentat s’est produit le vendredi», a expliqué Birane Dieng.
Lamine, un autre ami du défunt de témoigner: «la Tabaski passée, il a acheté à tous ses amis d’enfance un tissu pour la fête. Assane, c’est la générosité personnifiée. Nous nous remettons à Dieu et acceptons la volonté divine», souligne l’ami du défunt. Assane Sall repose désormais dans le cimetière municipal de Pikine, aux côté de sa mère. Il laisse derrière lui une veuve et une fillette qui porte le nom de sa défunte mère.
Pour témoigner sur son fils, Babacar Sall dira: " j'ai du mal à trouver les mots qu'il faut pour expliquer ce que je ressens (...) Assane était le dépositaire de vertus cardinales rarissimes chez les jeunes de son âge(...). Ce n'est qu'à la suite de sa mort que je me suis fait une idée de sa véritable personnalité. Il ne fumait pas et ne buvait pas. Son élégance, sa piété et ses compétences ont été maintes fois louées par son directeur général. A l'image du Prophète Mouhammad( Que la paix soit sur lui), Assane jeûnait tous les lundis et les jeudis(...)."
Dans les colonnes du Sud quotidien, ses amis n'ont pas manqué de faire des témoignages.
Birane Dieng confie: «ceux qui l’ont tué ne sont pas des musulmans». C’est un ami désemparé qui vient de condamner les actes de terrorisme perpétrés sur leurs frères musulman. Pour lui c’est la mort qui les a séparées. «C’est lui qui est parti demandé la main de ma femme, il y a de cela 1 mois. C’est pour vous dire comment on est complice. C’était un homme pieux et qui conseillait tout le monde sur le droit chemin», a-t-il lancé.
Son ami de révéler: «Assane avait senti qu’il allait partir. La veille de son départ il disait qu’il n’était pas en forme car le Mali est un pays instable. Il cherchait un vol allé et retour pour ne pas durer. Il est parti le jeudi, il a passé une nuit et l’attentat s’est produit le vendredi», a expliqué Birane Dieng.
Lamine, un autre ami du défunt de témoigner: «la Tabaski passée, il a acheté à tous ses amis d’enfance un tissu pour la fête. Assane, c’est la générosité personnifiée. Nous nous remettons à Dieu et acceptons la volonté divine», souligne l’ami du défunt. Assane Sall repose désormais dans le cimetière municipal de Pikine, aux côté de sa mère. Il laisse derrière lui une veuve et une fillette qui porte le nom de sa défunte mère.
