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Politique

Traques des biens supposés mal acquis Le PS dit halte à la manipulation de l’opinion publique


Jeudi 28 Novembre 2013

Le Parti socialiste a dénoncé avec vigueur ce qu’ils appellent les tentatives de manipulation de l’opinion nationale par des déclarations intempestives distillées dans la presse, souvent au mépris des règles qui gouvernent l’administration de la justice pénale. Dans le communiqué issu de leur Bureau politique, ils dénoncent les déclarations servies par « quelques professionnels oublieux sinon qu’ignorants de l’organisation de l’entraide et de la coopération judiciaires et laissant croire que les autorités françaises auraient refusé de coopérer avec la justice sénégalaise ». Ces propos selon le PS, sont totalement dénués de fondement et démentis par les derniers éléments recueillis auprès du Parquet de Paris.
« Faut-il rappeler que le Président François Hollande a pris, ici même, à Dakar, l’engagement ferme de la pleine et entière coopération de son pays ? » se sont-ils demandé.
Pour les camardes de Tanor, peu importent les arguties juridiques servies à travers les media, « dans une vaine tentative d’obscurcir le jugement de l'opinion pour tenter de disculper, par avance et hors des prétoires, les personnes poursuivies pour le délit d’enrichissement illicite quand le souvenir de la vaste entreprise de prédation des ressources nationales sous le pouvoir déchu est encore si présent dans les mémoires » .
Pour le PS la traque des biens mal acquis doit se poursuivre car elle était devenue une véritable demande sociale bien avant la chute d’Abdoulaye WADE, et parce que sans quoi, il serait illusoire de signifier aux autorités actuelles comme à celles de demain que la reddition des comptes des gouvernants est une nécessité de notre temps, que l’ère de l’impunité est révolue.
« Que valent les cris d’orfraies, en effet, quand tant d’hommes, de femmes et d’enfants souffrent encore dans leur vie, et que tant de ménages et d’entreprises à travers le pays continuent à payer les conséquences désastreuses de la gestion calamiteuse du défunt régime ? » s’interrogent les camarades de Tanor.
Selon eux la réponse va de soi, car c’est sans doute la volonté d’escroquer à l’opinion une absolution que la défense craint ne pouvoir obtenir de la juridiction, au regard des accablants éléments à charge que les enquêtes et commissions rogatoires auraient d’ores et déjà révélés, n'y est pas étrangère.

« Les juges le moment venu, devront remplir les devoirs de leur charge de rendre la justice en toute indépendance et sérénité, dans le respect scrupuleux des règles qui gouvernent notre procédure pénale. Le Parti socialiste encourage les magistrats à assumer la plénitude de leurs responsabilités en écoutant leur conscience et en disant le droit » conclut le bureau des socialistes.

DAKARACTU.COM






1.Posté par Impunité le 28/11/2013 23:52
LE RAPPORT D’AUDIT QUI MET À NU LA GESTION DE MARY TEUW NIANE
(rapport commandité conjointement par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de l’Économie et des Finances, sur financement de la Banque mondiale)
sur ndarinfo UGB-de-Saint-Louis-Le-rapport-d-audit-qui-met-a-nu-la-gestion-de-Mary-Teuw-Niane

« LA JUSTICE DOIT FAIRE LA LUMIERE SUR L’ARGENT INJECTE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR »
BIRAHIM SECK DU FORUM CIVIL
sur seneplus la-justice-doit-faire-la-lumiere-sur-l%E2%80%99argent-injecte-dans-l%E2%80%99enseignement-superieur
Publication 16/09/2013

Actuellement, la polémique fait rage entre le Saes et ministère de l’Enseignement Supérieur sur l’utilisation des milliards injectés dans l’enseignement privé pour l’orientation des bacheliers. Qu’est ce que cela vous inspire ?

Le Saes a tout à fait raison de demander des comptes au gouvernement sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur pour la prise en charge des bacheliers orientés dans les universités privées. Les dirigeant du Saes n’ont usé que des dispositions des articles 14 et 15 de la Déclaration des droits de l’Homme et des peuples qui fait partie intégrante du préambule de notre constitution qui prône la bonne gouvernance et la transparence. Il ne devrait y avoir même pas de polémique. Les autorités devraient même rendre compte avant que le Saes ne le demande. Les étudiants également doivent demander des comptes parce que les services sont pour eux.
De plus, mon étonnement est plus gra...

2.Posté par Impunité le 28/11/2013 23:53
De plus, mon étonnement est plus grand sur le silence affiché par le gouvernement par rapport aux différents audits publiés sur l’enseignement supérieur qui intéressent les autorités de l’enseignement supérieur et au plus haut niveau. C’est grave et inquiétant au moment où nous dit que l’Etat veut injecter 302 milliards dans le domaine de l’enseignement supérieur.
La justice traque des citoyens sénégalais et quand on produit des audits qui intéressent les membres du gouvernement ou des administrateurs, l’Etat ferme les yeux. Ce sont ces pratiques que les Sénégalais ont combattues. La justice sénégalaise doit également faire la lumière sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur. Les rapports d’audit sont là. Cependant la Banque mondiale est également interpellée car il ne sera logique ni acceptable que de l’argent soit à nouveau injecté sans que la vérité ne soit connu sur les faits invoqués dans ces rapports d’audit sur l’enseignement supérieur. Le Saes est bien dans son rôle et il appartient à l’Etat d’éclairer les Sénégalais si on veut avoir un enseignement supérieur de qualité dans un espace de sérénité et de lumière.

«MARY TEUW NIANE MENE LE PRESIDENT DROIT AU MUR»
SEYDI ABABACAR NDIAYE, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU SAES
Oumar KANDE | Publication 23/08/2013
sur seneplus «mary-teuw-niane-mene-le-president-droit-au-mur »

« Seydi Ababacar Ndiaye, continuant son interpellation, demande quelle suite sera donnée à l’audit des universités où il a été noté une mauvaise gestio...

3.Posté par Impunité le 28/11/2013 23:53
« Seydi Ababacar Ndiaye, continuant son interpellation, demande quelle suite sera donnée à l’audit des universités où il a été noté une mauvaise gestion généralisée, «y compris la gestion du ministre actuel quand il était recteur de l’Ugb».
«Est-ce qu’on peut continuer à faire confiance à des dirigeants qui ont été épinglés par différents rapports ? IL Y A AUSSI UN AUTRE DOCUMENT COMMANDITÉ PAR L’ACTUEL RECTEUR DE L’UGB AU NIVEAU DE LA DÉLÉGATION POUR LA RÉFORME DE L’ETAT ET DE L’ASSISTANAT TECHNIQUE (DREAT), QUI ÉPINGLE LE MÊME MINISTRE.
Ce document à montré que l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur, quand il était recteur à l’Ugb, son jeu favori c’était de créer des postes de responsabilité, de direction. Il en avait créé dix-neuf dans une petite université comme l’Ugb et il y avait des conséquences sur la masse salariale car tous ces directeurs avaient l’équivalent d’un million d’indemnité.
Ces manquements devraient édifier qu’il faut faire les bonnes enquêtes et prendre les individus qu’il faut pour les missions importantes. Quelqu’un qui dirige une simple université et qui a ces types de comportement, on lui confie le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il y a lieu de se poser des questions», a dit Seydi Ababacar Ndiaye. »


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