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"Il faut que le code de la route soit appliqué à la lettre. Le fameux projet de loi qui propose le retrait du permis du conducteur en cas d’accident n’est pas la solution et je n’en suis pas d’accord, parce que visant uniquement les chauffeurs", a soutenu M. Khouma.
Gora Khouma qui participait, vendredi à Bandia, à une conférence de presse organisée par ses camarades de l’Alliance pour la République (APR, au pouvoir) a relevé que la loi "devrait concernée tous les usagers de la route, notamment les conducteurs de calèches, les charretiers, les motocyclistes et autres piétons, qui partagent la route avec nous".
Selon lui, le terme "retrait du permis de conduire", signifie qu’"il y a une catégorie d’acteurs qui est à l’abri et nous ne l’accepterons pas".
"Nous acteurs des transports routiers, nous n’avons pas de problème avec la décision du chef de l’Etat qui consiste à n’accorder aucune tolérance (Tolérance zéro) aux conducteurs qui ne respecteraient pas le code de la route, mais nous demandons à ce que cela soit valable pour tous les usagers de la route", a-t-il dit.
"Nous n’avons pas peur de la tolérance zéro mais nous sommes inquiets. Il y a beaucoup d’anomalies dans beaucoup d’autres secteurs d’activités, donc la tolérance zéro doit être appliquée pour tout le monde et non pas seulement, de façon discriminatoire, aux seuls chauffeurs des transports urbains et interurbains", a soutenu le syndicaliste membre de l’APR.
Par ailleurs, Gora Khouma a pointé du doigt une certaine "discrimination" au centre de contrôle technique des véhicules laissant entendre que "les véhicules de l’Administration, de Dakar Dem Dik, des marabouts, etc." n’y sont pas contrôlés.
"La discrimination, ce n’est pas bien pour un pays. Nous voulons que la loi s’applique à tout le monde. Si elle est généralisée, nous sommes preneurs", a-t-il soutenu.
Le secrétaire général de l’Union des routiers est d’avis qu’il faut "impérativement" supprimer véhicules de transport dits "Ndiaga Ndiaye" et "Car rapide" et accélérer le processus de renouvellement du parc automobile vieillissant démarré depuis 2004.
"L’Etat devrait mettre les moyens pour mettre en circulation entre mille et trois mille véhicules. Parce que même les premiers véhicules qui ont été mis en service sont devenus vétustes. Il ne faut pas renouveler au compte-gouttes.
ADE/PON
Gora Khouma qui participait, vendredi à Bandia, à une conférence de presse organisée par ses camarades de l’Alliance pour la République (APR, au pouvoir) a relevé que la loi "devrait concernée tous les usagers de la route, notamment les conducteurs de calèches, les charretiers, les motocyclistes et autres piétons, qui partagent la route avec nous".
Selon lui, le terme "retrait du permis de conduire", signifie qu’"il y a une catégorie d’acteurs qui est à l’abri et nous ne l’accepterons pas".
"Nous acteurs des transports routiers, nous n’avons pas de problème avec la décision du chef de l’Etat qui consiste à n’accorder aucune tolérance (Tolérance zéro) aux conducteurs qui ne respecteraient pas le code de la route, mais nous demandons à ce que cela soit valable pour tous les usagers de la route", a-t-il dit.
"Nous n’avons pas peur de la tolérance zéro mais nous sommes inquiets. Il y a beaucoup d’anomalies dans beaucoup d’autres secteurs d’activités, donc la tolérance zéro doit être appliquée pour tout le monde et non pas seulement, de façon discriminatoire, aux seuls chauffeurs des transports urbains et interurbains", a soutenu le syndicaliste membre de l’APR.
Par ailleurs, Gora Khouma a pointé du doigt une certaine "discrimination" au centre de contrôle technique des véhicules laissant entendre que "les véhicules de l’Administration, de Dakar Dem Dik, des marabouts, etc." n’y sont pas contrôlés.
"La discrimination, ce n’est pas bien pour un pays. Nous voulons que la loi s’applique à tout le monde. Si elle est généralisée, nous sommes preneurs", a-t-il soutenu.
Le secrétaire général de l’Union des routiers est d’avis qu’il faut "impérativement" supprimer véhicules de transport dits "Ndiaga Ndiaye" et "Car rapide" et accélérer le processus de renouvellement du parc automobile vieillissant démarré depuis 2004.
"L’Etat devrait mettre les moyens pour mettre en circulation entre mille et trois mille véhicules. Parce que même les premiers véhicules qui ont été mis en service sont devenus vétustes. Il ne faut pas renouveler au compte-gouttes.
ADE/PON