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L'honorable député Thierno Bocoum est revenu sur ses rapports avec le leader de Rewmi, Idrissa Seck dans l'émission Poli'Ethique.
Parlant de son entrée dans le parti d'Idrissa Seck, Thierno Bocoum déclare : "Je suis membre fondateur de ce parti. Je n'ai pas pris le train en marche. J'ai connu Idrissa Seck avant qu'il ne soit mis en prison. Il a été victime d'injustice et comme moi, j'ai eu une formation en finance publique, je n'ai pas été d'accord avec sa condamnation. Le président d'alors disait qu'il lui avait remis de l'argent plusieurs fois et je sais qu'un Etat ne fonctionne pas comme ça. Idrissa Seck était juste Premier ministre ce qui veut dire qu'il n'était pas ordonnateur des dépenses, ni l'administrateur des crédits encore moins convoyeur d'argent ou entreprise. Un bon jour, on vient t'accuser d'avoir pris de l'argent, je ne pouvais être d'accord avec ça. Vu cette injustice, je me suis dit que celui-la mérite qu'on lui vienne en aide parce que c'était devenu un peu trop. Voilà pourquoi je me suis rapproché de lui. Avant la création du parti, Idrissa avait un staff technique où j'étais membre. On était ses conseillers techniques, jusqu'à ce qu'il décide de créer le parti "Rewmi" en novembre 2006. Il m'a donné le poste de secrétaire national adjoint chargé de la communication. Alors Rewmi, c'est notre bébé qu'on a vu naître, alors Rewmi c'est nous! Depuis lors, mon engagement est de plus en plus vivant. Je suis de ceux qui ne croyaient pas en la politique du fait de plusieurs facteurs. Par la suite, je suis rendu compte qu'on pouvait participer aux choses sans rester à attendre que les politiques nous imposent leur loi. Et cela constitue une satisfaction avec Idrissa Seck, parce qu'il nous pousse à prendre notre liberté et de prendre nos propres décisions. Il nous incite à donner notre avis et se rapprocher de la population. On a une conviction et on fera tout pour préserver notre liberté comme nous l'apprend notre leader Idrissa Seck".
Parlant de son entrée dans le parti d'Idrissa Seck, Thierno Bocoum déclare : "Je suis membre fondateur de ce parti. Je n'ai pas pris le train en marche. J'ai connu Idrissa Seck avant qu'il ne soit mis en prison. Il a été victime d'injustice et comme moi, j'ai eu une formation en finance publique, je n'ai pas été d'accord avec sa condamnation. Le président d'alors disait qu'il lui avait remis de l'argent plusieurs fois et je sais qu'un Etat ne fonctionne pas comme ça. Idrissa Seck était juste Premier ministre ce qui veut dire qu'il n'était pas ordonnateur des dépenses, ni l'administrateur des crédits encore moins convoyeur d'argent ou entreprise. Un bon jour, on vient t'accuser d'avoir pris de l'argent, je ne pouvais être d'accord avec ça. Vu cette injustice, je me suis dit que celui-la mérite qu'on lui vienne en aide parce que c'était devenu un peu trop. Voilà pourquoi je me suis rapproché de lui. Avant la création du parti, Idrissa avait un staff technique où j'étais membre. On était ses conseillers techniques, jusqu'à ce qu'il décide de créer le parti "Rewmi" en novembre 2006. Il m'a donné le poste de secrétaire national adjoint chargé de la communication. Alors Rewmi, c'est notre bébé qu'on a vu naître, alors Rewmi c'est nous! Depuis lors, mon engagement est de plus en plus vivant. Je suis de ceux qui ne croyaient pas en la politique du fait de plusieurs facteurs. Par la suite, je suis rendu compte qu'on pouvait participer aux choses sans rester à attendre que les politiques nous imposent leur loi. Et cela constitue une satisfaction avec Idrissa Seck, parce qu'il nous pousse à prendre notre liberté et de prendre nos propres décisions. Il nous incite à donner notre avis et se rapprocher de la population. On a une conviction et on fera tout pour préserver notre liberté comme nous l'apprend notre leader Idrissa Seck".
