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Thierno Alassane Sall, député à l'Assemblée nationale et candidat à l'élection présidentielle de 2024, n'en revient pas. «Un premier tour de l'élection présidentielle le 2 juin ; une prolongation du mandat de Macky Sall jusqu'au mois de juillet au moins, dans l'hypothèse d'un second tour sans contestation ; une tentative de réintégration de certains candidats écartés par le Conseil Constitutionnel, dont un parjure récidiviste». L'ancien ministre de l'Énergie s'indigne: «triste pays où un parjure a pour avocat le Président de la République et ses obligés», s'étrangle TAS, qui remarque : «Macky Sall et ses complices oublient juste un "détail" : si tous les partis politiques du Sénégal, l'ensemble de la société civile, les candidats officiels ou recalés, se mettaient d'accord, leur consensus ne saurait prévaloir sur la Constitution».
L'honorable parlementaire de souligner : « son Assemblée sélectionnée de Diamniadio a moins de légitimité que l'Assemblée nationale du Sénégal. Et on sait la décision irrévocable du Conseil constitutionnel sur le "consensus" de l'Assemblée nationale visant à violer la Constitution et à reporter l'élection présidentielle".
Le Président du parti République des Valeurs/Réewum Ngor se veut catégorique : «Il y a de la haute trahison dans l'air, Macky Sall persistant à piétiner la Constitution. Le Conseil constitutionnel du Sénégal ne peut que persister et signer, que fixer l'élection présidentielle après le 2 avril est anticonstitutionnel. Sauf à se renier».