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L’opposition a longtemps menacé de boycotter le scrutin avant d’accepter finalement d’y participer elle a réclamé un dialogue politique elle n’a obtenu que des concessions mineurs rien de tangible sur les questions de fonds comme le découpage électoral rien non plus sur le fonctionnement de la Céni largement dominé par le parti au pouvoir selon Dodji Apevon l’un de la coalition Arc en ciel la politique de la chaise vide eut été la pire des solutions. Agbeyomé Kodjo partage cette analyse, le chef de file de l’autre coalition de l’opposition « collectif sauvons le Togo ». Selon lui-même si la transparence n’est pas garantie l’opposition doit participer en raison des enjeux cruciaux qui attendent la future assemblée à deux ans d’élections présidentielles. Le parti au pouvoir unir qu’il fallait dépoussiérer le system et montrer qu’il pouvait innover la grande question est de savoir si les électeurs suivront. Cette élection va permettre de clarifier l’échec d’un homme politique de même permettre à un homme d’occuper un nouveau fauteuil celui du chef de l‘opposition un poste devenu officiel depuis l’adoption de la loi 11-60.