-
Attaques contre Diomaye Faye : Nathalie Yamb tacle sévèrement l’écrivaine Fouazia Zouari
-
Dissidence au sein du MFDC : César Atoute Badiate perd le contrôle de la faction de…
-
Secteurs public et parapublic : Des appels à candidatures bientôt lancés pour certaines hautes fonctions
-
Envoyé spécial de l’ONU à Tripoli : Abdoulaye Bathily démissionne de son poste
-
[Dossier] Grand Tortue Ahmeyim et l’environnement : Le gaz «trouble» la pêche locale (1ère partie)
«L’État devra revoir sa politique de grâce, parce que c’est ce qui est à l’origine de toutes ces agressions», a affirmé l’une de ces sources. Qui assure que les assaillants, «formellement identifiés» et dont l’arrestation ne serait qu’une question de jours, voire d’heures, sont pour la plupart d’ex-détenus ayant récemment bénéficié de cette mesure.
Parmi les voies privilégiées pour désengorger les prisons, l'État a retenu la grâce présidentielle. Même si elle fait l'objet d'un encadrement strict, le conditions d'application de la mesure méritent une réflexion plus poussée. Sinon, les pouvoirs publics risquent de créer un autre problème en tentant d'en résoudre un.