Samuel déballe grave: « Quand Macky peinait à payer ses 90 000 FCFA de loyer, moi je logeais dans des suites… »

Ameth Aïdara, l’animateur de l’émission SenJotaay, de nos confrères de SenTv, ne manquera pas de dire, « Wa Dakaractu ay deum la niou » (Ce sont des sorciers, ces gars de Dakaractu).
Pourquoi me direz-vous ?
Parce qu’il reçoit l’ancien ministre de l’énergie, Samuel Sarr, pour son émission hebdomadaire, mais mes radars ont pu choper avant sa diffusion, le dimanche prochain, des morceaux choisis parmi les déballages son invité.
L’émission d’après nos sources, a été concoctée dans les champs de Serigne Saliou à Lagane (quelques kilomètres de Gossas). Ameth Aïdara, comme on dit en wolof, « dafa niémé souli mboot » (Il aime déterrer les secrets) et Samuel Sarr, de son coté, ne s’est pas gêné pour tirer sur tout ce qui bouge, Macky, Abdou Latif Coulibaly, Mimi… Imaginez la suite !
D’après ces indiscrétions, Samuel interpellé entre autres sur le cas Carmello Sagna, n’y est pas allé par quatre chemins, pour dire que c’est sa personne qui est visée, ni plus, ni moins. Rien de neuf, diront à juste titre certains lecteurs.
Mais là où il semble chercher à faire mal, c’est quand il revisite le passé de Macky, l’actuel locataire du palais.
« Ils ont tout essayé pour m’avoir, les impôts, la traque des biens, tout, tout ! Alors que moi, quand je logeais dans des suites, Macky lui louait un petit appartement du coté de Derklé et peinait mensuellement à payer son loyer qui n’était que de 90 000 FCFA » aurait-il bombardé.
Une façon pour Samuel de dire que sa fortune date d’avant alternance, à l’opposé d’un certain président.
Notre source rajoute que Latif Coulibaly et nos confrères du Groupe Sud en ont pris pour leur grade. L’ancien ministre indique avoir mis ses sous dans les locaux du groupe et que Abdou Latif doit être le dernier à parler de bonne gouvernance.
« Khamgna Ameth, mou diko thioukh rek » (Tu connais Ameth, il a continué à le cuisiner) nous dit notre source, qui indique que Samuel n’a pas raté Mimi Touré non plus. Il aurait indiqué que c’est elle qui derrière toute cette traque (donc le calvaire des libéraux) parce que…
Comme s’il n’était rendu compte qu’il en a assez dit, notre informateur nous a prié de ne pas rater leur rendez-vous.
C’est sûr que nous y reviendrons !

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