RUPTURE: Oliver Kapo et Vanessa, les mots du divorce !

Clap de fin pour Olivier Kapo et Vanessa Edorh ! Le couple star n’a pas résisté longtemps à l’union sacrée du mariage. Quatre mois seulement après une cérémonie célébrée avec faste, ils se sont échoués sur les vagues du divorce. Un divorce où les mots ne volent pas très hauts. L’international Ivoirien a été le premier à traiter son ex-épouse de femme volage et d’intéressée. Tandis que la reine de beauté, absente de Dakar, se défend au bout du fil d’avoir épousé un «sérial divorceur», un footballeur fini et aigri. Qui dit vrai ? À vous de juger…

OLIVIER KAPO SOLDE SES COMPTES

«Vanessa n’était pas fidèle. Son but était de m’exploiter»

Qu’est-ce qui vous amène à Dakar ?

Je suis venu à Dakar pour déférer à une convocation du tribunal en ce qui concerne mon divorce, dont l’audience était prévue le 16 juin dernier. Je veux en finir au plus vite avec ce mariage.

Le divorce a été prononcé ou il est toujours en instance ?

Il y a eu une première audience où les deux parties étaient conviées. J’y suis allé avec mon avocat, mais Vanessa n’est pas venue. Elle s’est fait représenter par son avocate. Là, nous attendons le délibéré qui doit tomber bientôt.

Est-ce qu’avant cela, il y a eu des audiences de conciliation ?

Avant, il y a eu beaucoup d’échanges entre nos deux avocats. Mais, c’est la première fois que je me déplace, car j’étais pris par des impératifs professionnels. J’ai communiqué à mon avocat la date du 16 juin, qui coïnciderait avec mes vacances.

Pourquoi vous avez choisi d’intenter une procédure de divorce au Sénégal ?

J’ai parlé à mon avocat à Paris qui m’a conseillé de m’attacher les services d’un avocat du Sénégal, puisque le mariage y a été célébré. C’est ainsi qu’avec mes relations, j’ai pu trouver un bon avocat à qui j’ai expliqué toute l’histoire et il a introduit la procédure.





Qu’est-ce qui vous a poussé à demander le divorce au bout de quelques mois de mariage ?

Il y a plein de choses qui se sont passées avant le mariage. J’ai toujours fermé les yeux dessus. Il y a eu beaucoup d’infidélité et j’ai eu des preuves de cela. Vanessa n’avait pas une bonne presse et je pensais qu’après le mariage, elle allait changer et qu’elle démonterait toutes ces rumeurs. Mais au bout de quelques mois, je me suis rendu à l’évidence et j’ai décidé qu’il fallait que je me libère de ce mariage.

Vous formulez des accusations très graves contre votre ex-femme sans preuves. Sinon quelles sont-elles ?

Je me suis attaché les services d’un détective privé et devant les faits, elle a fini par m’avouer la vérité.

Vous en êtes arrivé à louer les services d’un détective privé. Cela veut-il dire que la confiance n’était pas au rendez-vous?

Il y a eu tellement de choses qu’à la fin, j’ai senti la nécessité de le faire.

Quel genre de comportement avait-elle ?

(Hésitant). J’ai constaté un changement de comportement chez elle et je me suis dit qu’elle avait d’autres idées en tête. Elle avait eu à me tromper avec un vieux Blanc qui avait la soixantaine, alors qu’on vivait ensemble. Après notre mariage, j’ai cru qu’elle avait coupé les ponts, mais par la suite, je me suis rendu compte qu’elle entretenait toujours cette relation. Quand on vivait ensemble et que je l’ai mis devant le fait accompli, elle a avoué. J’ai voulu lui donner une dernière chance avec le mariage. Je lui ai donné tout ce que je pouvais lui donner parce que je l’aimais vraiment. Mais elle, son but n’était que de m’exploiter.

Vos motivations pour justifier votre demande de divorce semblent très légères et toujours en votre faveur. N’est-ce pas une manière de faire pencher la balance judiciaire en votre faveur ?

Elle n’était pas fidèle. Je n’essaie pas de faire pencher la balance judiciaire en ma faveur.

Vanessa-Olivier Kapo, c’est fini ?

Oui ! C’est fini. Avec tout ce qui s’est passé… (Il ne termine pas).

Comment s’est passé la rupture ?

Elle a pris ses affaires et elle est partie. Je pense qu’elle devait subir une pression de la part de son amant. Et franchement, je n’attendais que cela.

On sait que Vanessa a été la première à introduire une procédure de divorce en France. C’est parce que vous aviez des procédures pendantes devant la justice française que vous avez choisi d’intenter une procédure au Sénégal ?

Elle est libre de dire ce qu’elle veut. Dans les histoires de divorce, quand cela atteint un certain stade, on véhicule plusieurs versions pour calomnier l’autre. Elle me trompait avant. Elle a continué à le faire même après notre mariage. Je l’aimais et j’ai fait ce qu’il fallait pour qu’elle soit heureuse. La procédure qu’elle a introduite à Paris est nulle, car le mariage a été célébré ici. Elle divorce à Paris alors que moi, je vis en Pologne.

Vanessa a avancé l’argument selon lequel, c’est sa mère qui a financé votre mariage…

(Il coupe). Si sa mère a financé notre mariage, moi, je lui ai acheté la voiture qu’elle conduit actuellement.

Et l’histoire du chèque de la dot qu’elle n’a jamais pu encaisser faute de provisions ?

Je lui ai offert un chèque de 25 millions en guise de cadeau de mariage. Et quand il y a eu la séparation, je suis venu au mois de mai à Dakar pour clôturer le compte. J’ai tout expliqué à ma gestionnaire de compte et elle a déchiré mon chéquier devant moi.

Ce chèque était un cadeau de mariage, pourquoi aurait-elle attendu bien après pour l’encaisser ?

Je ne sais pas…

Est-ce que votre compte était alimenté au moment où vous lui offriez ce chèque ?

Bien sûr ! Je l’ai clôturé quand j’ai réalisé son infidélité et qu’on s’est séparé. Pourquoi elle n’a pas retiré le chèque ? Elle seule peut répondre à cette question. Je l’ai aimée. C’est terminé. Je suis content de sortir de cette histoire.

Votre histoire recèle de nombreuses zones d’ombres. Pourquoi avoir choisi d’en parler à la presse ?

Avec mon statut, on entend plusieurs rumeurs. J’ai des enfants et une famille. Je pense qu’avant que cela n’aille plus loin, mieux vaut en parler.

Kapo a une réputation de «serial divorceur» avec tout le temps des problèmes avec vos ex-épouses…

(Il élude). Quel homme sur cette terre accepterait de vivre avec une femme infidèle ? Ce n’est pas possible.

Quelles sont vos relations aujourd’hui ?

On n’entretient plus aucune sorte de relation. Je suis bien comme ça. Je suis content de sortir de cette relation. Je veux juste qu’elle soit heureuse. J’ai des principes dans la vie et j’y tiens. C’est fini…



VANESSA EDORH DONNE SA PART DE VÉRITÉ

«Olivier est un footballeur fini. Je l’ai épousé dans la galère»

«Olivier est un homme aigri. Avant moi, il a eu trois précédents mariages qui se sont tous soldés par des échecs. De ces unions, il a eu un enfant avec chacune de ses trois épouses, qu’il a tous abandonnés par la suite. Il disait que la première femme était une prostituée de luxe et qu’elle l’a piégé pour avoir un enfant de lui ; la seconde l’avait trompé et la dernière l’avait marabouté, en plus de lui porter la poisse. A chaque fois qu’il avait une nouvelle femme dans sa vie, il s’arrangeait pour chasser l’autre. Lorsque j’ai connu Olivier Kapo, sa troisième femme venait d’avoir un enfant et il me l’avait caché. C’est au bout de six mois de relation qu’il m’a fait cette révélation. Maintenant, c’est moi qu’il traite d’adultère ! Au début de notre relation, il n’avait pas de club, il venait d’être renvoyé de Wigan. Cela ne me posait pas de problème qu’il n’ait pas d’argent, parce que ce n’était pas ma priorité. Au contraire, je l’ai soutenu dans cette épreuve et j’ai invoqué tous les Saints pour qu’ils puissent trouver un autre club et reprendre du service. Mes prières ont eu un écho favorable et Dieu a fait qu’il a trouvé un autre club au Qatar.

«Ses ligaments croisés rompus, j’ai soigné, nettoyé et nourri Olivier Kapo»

Malheureusement, lorsque la saison s’est terminée, il a eu une rupture des ligaments croisés. Il était hospitalisé et personne n’est venu à son chevet, pas même les membres de sa famille. Pendant près de 7 mois, je l’ai aidé à s’en sortir. Non seulement je lui procurais ses soins, mais aussi je le nettoyais et le nourrissais avec le fruit de mon propre travail dans un restaurant. Tout l’argent qu’il avait gagné, il l’avait dilapidé, il est comme ça. Pendant son séjour à l’hôpital, c’est moi-même qui emmenais ses enfants pour qu’ils puissent le voir et lui apporter du réconfort. Après cela, il a trouvé un autre club à Auxerre. Là, ça allait mieux et il nous a même acheté des voitures, à ma mère et moi, pour nous remercier. Ensuite, nous sommes retombés dans une mauvaise passe et nous sommes partis en Grèce où il n’a pas été payé pendant six mois. C’est là qu’il m’a fait sa demande en mariage, ce que j’ai accepté, malgré sa situation. Sans cela, ma mère n’aurait pas pris l’argent qu’elle a durement gagné pour nous l’envoyer, afin que nous ayons de quoi manger. J’ai les preuves et des témoins pourront vous confirmer tout ce que je dis. Je me suis mariée avec lui, alors qu’il était dans la galère. Lors de notre mariage, il n’avait même pas les moyens de me payer une robe de mariée. Il a été contraint de vendre un terrain en Côte d’Ivoire, à 40 millions pour pouvoir payer les billets d’avion pour ses parents, afin qu’ils assistent à la cérémonie. Il a aussi loué une maison où nous habitions pendant notre séjour à Dakar et acheté ses costumes pour le mariage. Le reste de l’argent devait servir à payer ma dot, les fameux 25 millions que je n’ai pas pu récupérer parce que son compte était vide. Toutes les factures du mariage sont avec moi et c’est ma mère qui a tout payé. Il n’avait rien, c’est un footballeur fini que je voulais aider. Je me disais que le meilleur était à venir. Après notre mariage, au lieu d’aller en lune de miel, nous sommes retournés en Grèce pour essayer de le dépêtrer d’un problème qu’il avait avec le club. Il a finalement cassé son contrat avec eux et nous sommes allés en Pologne. J’ai accepté de le suivre jusque là-bas. Il gagnait 5 millions par mois. C’est avec cet argent, que nous devions payer les factures, le loyer… Il devait aussi faire vivre ses parents restés au pays et me faire vivre, moi. On ne s’en sortait pas du tout. Puisque j’avais eu la chance de faire des études, je me suis dit qu’il fallait que je travaille, histoire que l’on puisse au moins avoir de l’argent à mettre de côté pour nos vieux jours. C’est ainsi que j’en ai parlé à Olivier et il a fait semblant d’accepter ma proposition. Il m’a demandé d’aller à Dakar pour travailler. Je n’y ai trouvé aucun inconvénient, il m’a payé le billet d’avion et je suis venue. Il était censé me rejoindre en décembre, mais il n’est pas venu. Je n’ai plus eu de ses nouvelles depuis le 17 novembre 2014, date à laquelle j’ai quitté la Pologne. Il m’a laissée sans ressources et j’ai essayé de le joindre, en vain. Il pensait qu’en restant à Dakar, j’allais mourir de faim ou vivre dans la dèche et que j’allais retourner vers lui. J’ai pris mon courage à deux mains, je me suis battue toute seule pour pouvoir m’en sortir. Dans mon voisinage immédiat, il s’est attaché les services d’un larbin à qui il payait des miettes, pour m’espionner.

«Il m’a abandonnée… J’ai fait une fausse couche»

Pendant ce temps, lui se la coulait douce. A chaque fois que j’avais le dos tourné, il se payait les services d’une prostituée. J’ai des photos et des preuves de tout ce que j’avance. Puisque nous n’étions plus en contact, j’ai entamé une procédure de divorce à l’amiable en France, car je ne voulais rien de lui. Mais, malgré la convocation qu’il a reçue, il n’a pas daigné y déférer. Il a préféré venir à Dakar après coup pour pouvoir échapper aux autres procédures intentées par ses autres ex-épouses contre lui. Toutes le poursuivent parce qu’il ne s’acquitte pas de leurs pensions alimentaires. En plus de cela, il doit des impôts en France. Les papiers sont avec moi et je peux vous les envoyer (ce qu’elle fera plus tard par mail). J’ai tout fait pour lui, ainsi que ma mère. C’est nous qui nous sommes ruinées pour le soutenir. Dans la dignité et en silence, j’ai tout supporté. Pour me remercier, il n’a rien trouvé de mieux que de me traiter de femme volage ! Comment je peux le tromper au bout de 4 mois de mariage ? Pour tout dire, lorsque je suis arrivée à Dakar, j’étais enceinte de lui. A cause des misères et du mauvais sang que je me faisais, j’ai fait une fausse couche. J’ai perdu mon enfant, à force d’être rongée par les souffrances que cet homme m’a causées. Puisqu’il m’a déclaré la guerre, il y a maintenant une autre procédure pour contentieux qui l’attend en France…»

GFM