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Par contre, il y a eu des points de désaccords à propos de quatre points défendus par l’opposition : refonte partielle du fichier, passage de 150 à 160 du nombre de députés pour faire place aux 10 représentants de la diaspora, instauration du bulletin unique et mode de scrutin.
Ces désaccords sont susceptibles, selon l’opposition, de créer les remous lors des prochaines échéances électorales. Mais le principal risque pour des scrutins apaisés reste le ministre de l’Intérieur, de l’avis de Dédhié Fall de Rewmi, qui représentait l’opposition lors de la remise du rapport de la commission technique de revue du code électoral.
« Sa personne constitue le premier élément de la matrice à problèmes dans le processus (électoral). C’est quelqu’un qui a montré ses limites objectives à tout point de vue, il n’est pas capable d’organiser une élection transparente dans ce pays. »