Autres articles
-
Sur les 52 nominations du Conseil des ministres de ce mercredi, une a particulièrement retenu l’attention des médias. «Monsieur Lamine Barra Lô […] est nommé directeur général de l’Office national de formation professionnelle (ONFP), en remplacement
-
42 hommes et 10 femmes : Voici la liste des nouvelles nominations en Conseil des ministres
-
Chantiers de réparation navale : le verdict est tombé, ce qui va se passer
-
100% électrique, 300 000 passagers par jour, 420 milliards F CFA : Tout savoir sur la révolution BRT
-
Bus Rapide Transit : Le directeur du CETUD explique sa mise en exploitation progressive
Le jugement aura bel et bien lieu car les dix sept( 17 ) accusés ont été renvoyés devant la Chambre Criminelle et sont toujours en détention à la prison de Thiès, dans l’attente du jugement. Si on en croit au journal Walf Quotidien, le principal obstacle à l’ouverture du procès demeure « la pluralité des dossiers en attente d’être examinés par la Chambre Criminelle de Thiès ». En effet plus de cinq sessions se sont tenus sans que ce dossier en question, ne soit enrôlé.
Outre le Cheikh, les dix sept (17) accusés vont comparaître au procès qui se tiendra au tribunal de Thiès. Dans ce dossier où les accusés seront jugés pour » association de malfaiteurs, recel de cadavres, infraction aux lois sur les inhumations, meurtre avec barbarie, non dénonciation de crime et détention d’arme à feu sans autorisation, une probabilité d’un retour à la case prison est certaine, pour les personnes qui bénéficient de liberté provisoire. Elles sont coincées par l’article 206 du Code de procédure pénale qui dispose que » l’arrêt de renvoi (devant le cour d’assises) contient, à peine de nullité, l’exposé et la qualification légale des objets de l’accusation. Il décerne en outre une ordonnance de prise de corps contre l’accusé dont il précise l’identité.
Outre le Cheikh, les dix sept (17) accusés vont comparaître au procès qui se tiendra au tribunal de Thiès. Dans ce dossier où les accusés seront jugés pour » association de malfaiteurs, recel de cadavres, infraction aux lois sur les inhumations, meurtre avec barbarie, non dénonciation de crime et détention d’arme à feu sans autorisation, une probabilité d’un retour à la case prison est certaine, pour les personnes qui bénéficient de liberté provisoire. Elles sont coincées par l’article 206 du Code de procédure pénale qui dispose que » l’arrêt de renvoi (devant le cour d’assises) contient, à peine de nullité, l’exposé et la qualification légale des objets de l’accusation. Il décerne en outre une ordonnance de prise de corps contre l’accusé dont il précise l’identité.