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Sen Revue de presse

Presse-revue: Les conditions de la libération de Karim Wade au menu des quotidiens


Samedi 25 Juin 2016

Les quotidiens reçus samedi à l’APS reviennent largement sur les conditions de la libération de Karim Wade, gracié dans la nuit de jeudi à vendredi par le président de la République Macky Sall.

L’ancien ministre d’Etat Karim Wade avait été condamné par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI), en avril 2013, à une peine de 6 ans de ferme et à 138 milliards d’amende pour enrichissement illicite. Libéré tard dans la nuit du jeudi au vendredi, il s’est aussitôt envolé pour le Qatar.

Karim Wade dit regretter de n’avoir pas pu rencontrer, à sa sortie de prison, "les millions de Sénégalais des villes et des campagnes", pour les remercier de leur soutien lors de son incarcération dans le cadre de la traque des biens supposés mal acquis.

S’exprimant dans une déclaration dont copie est parvenue à l’APS, il a rendu grâce au Seigneur de lui avoir permis de traverser l’épreuve qu’il lui a fait subir en gardant sa foi, sa sérénité et sa santé.

Karim Wade a aussi exprimé sa "profonde" reconnaissance envers ses parents ainsi qu’envers les différents guides religieux du pays, ses avocats, les militants et responsables du Parti démocratique sénégalais (PDS, opposition) et les organisations de défense des droits de l’homme.

"Les détails d’un exil forcé", écrit L’As. Citant ses sources, le journal indique que si Karim Wade n’a même pas passé une journée au Sénégal, après sa libération, cela a été la décision de l’autorité.

C’est ainsi, ajoute-t-il, que dès sa libération, "il a été escorté par le régisseur de Rebeuss et le directeur de l’administration pénitentiaire jusqu’à l’aéroport pour être sûr qu’il a quitté le pays".

Selon cette même publication, la condition de sa libération était que Karim Wade, dès son élargissement de prison, quitte le Sénégal. Les autorités ne voulaient pas qu’il reste dans le pays pour troubler l’ordre +républicain+.

D’ailleurs, "les plus hautes autorités ont été claires et intransigeantes sur ce point. Dès lors, Karim Wade devait se plier aux exigences du régime, qui a tenu à informer Touba et Tivaouane de ses conditions pour dissiper tout amalgame", indique l’AS, citant toujours ses sources.

Sur cette libération de Karim Wade et de son exil au Qatar, Enquête parle de "protocole de Doha".

A en croire, cette publication, le fils de l’ex-président Abdoulaye Wade qui aurait dans un premier temps refusé de s’exiler, a finalement accepté les termes du "protocole de Doha" qui lui imposent de sortir du territoire national, après son élargissement de prison.

"Sortie précipitée du territoire national, Karim contraint à l’exil ?", s’interroge La Tribune selon qui, "c’est la mort dans l’âme que Karim Wade a accepté de quitter le Sénégal pour le Qatar sans s’adresser à ses amis et sympathisants".

"Pressé par Touba qui a dépêché une délégation à Dakar, le fils de Me Wade a annulé son discours qu’il allait prononcer en langue Ouolof. C’est par la suite qu’il a rallié Paris avant Doha", relève le journal.

"Extirpé de prison par le Qatar, que cache une telle libération ?", se demande de son côté Direct Info.

"Libéré au-delà des heures administrativement légales et conduit par le directeur de l’administration pénitentiaire, remis au procureur général du Qatar devant son avocat, Karim Wade est-il réellement libre ? Vont-ils poser l’acte final de sa libération au Qatar ?" , s’interroge encore ce journal.

Il conclut que l’affaire Wade-fils continue de constituer une véritable nébuleuse aux yeux de nombreux Sénégalais qui se posent moult questions.

Les journaux ont aussi largement fait écho de la réaction de l’ancien premier ministre Idrissa Seck sur la grâce accordée à Karim Wade.

"C’est un deal international", dit le président du parti Rewmi (opposition) qui s’est rendu vendredi à Touba pour présenter ses condoléances au khalife général des mourides suite au rappel à Dieu de son épouse.

"Touba n’est pas dans des deals", déclare le porte-parole du khalife général des mourides, Cheikh Bass Abdou Khadre dont les propos sont repris par L’Observateur.

Il a précisé selon la même publication que "Touba a joué un rôle officiel dans la libération de Karim Wade. Toute ce qui a été dit l’a été de manière officielle".

La réaction du ministre du ministre de la justice, Sidiki Kaba sur la libération de Karim et les autres dossiers de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) est également à lire dans les publications du jour.

"Les procédures en cours à la CREI seront menées à terme", déclare le garde des sceaux dans Le Soleil.

APS






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