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Sen Revue de presse

Presse revue:L'affaire Nafy Ngom s'installe au coeur de l'actualité


Jeudi 4 Août 2016

La livraison de jeudi de la presse quotidienne traite notamment de la dernière sortie du ministre porte-parole du gouvernement, Seydou Guèye, au sujet de l’affaire Nafi Ngom Keïta, qui continue de s’installer au cœur de l’actualité, depuis la publication du décret mettant fin à ses fonctions de présidente de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC).


Presse revue:L'affaire Nafy Ngom s'installe au coeur de l'actualité
Nafi Ngom Keïta "a violé le secret professionnel", a soutenu le ministre porte-parole du gouvernement, Seydou Guèye, dans des propos relayés par le quotidien L’Observateur. Il animait une conférence de presse au cours de laquelle il est revenu les raisons ayant conduit les autorités à faire partir l’ancienne présidente de l’OFNAC.
 
"Beaucoup de Sénégalais ont dénoncé, regretté et condamné les manquements notés dans la gestion du courrier et des dossiers instruits par l’OFNAC qui se retrouvent très souvent à la Une des journaux", ajoute M. Guèye, cité par ce journal.
 
"Or, poursuit-il dans les colonnes du même quotidien, au-delà de l’obligation de réserve, la loi portant création de l’OFNAC astreint les membres au respect du secret professionnel et des délibérations. Malheureusement, ces obligations et prescriptions légales ont été régulièrement violées par l’OFNAC".
 
Aussi Seydou Guèye assure-t-il que "la décision présidentielle mettant fin aux fonctions de Nafi Ngom Keïta n’est entachée d’aucune illégalité" (La Tribune), même si l’intéressée semble toujours aussi décidée à contester devant la justice le décret mettant fin à ses fonctions.
 
Dans les colonnes de La Tribune, elle a indiqué à ses proches avoir tourné la page de l’OFNAC, non sans revenir sur les raisons qui l’ont amenée à saisir la Cour suprême. Un recours motivé selon elle "par un souci d’aller jusqu’au bout dans son combat de +principe pour la postérité+". 
iquer Seydou Guèye. Le recours de Nafi Ngom Keïta prouve au moins que "le Sénégal est un pays de droit", note-t-il à la Une du quotidien Le Soleil.
 
Si l’on en croit Le Témoin quotidien, l’ancienne présidente de l’OFNAC a été simplement "remise à sa place". Le journal publie à nouveau un article écrit par son éditorialiste le 12 janvier 2015, selon lequel la nomination de Nafi Ngom Keïta à la présidence de l’OFNAC relève d’une erreur de casting.
 
Une "Première dame controversée", renchérit Le Témoin quotidien. "Ex-présidente de l’OFNAC et Vérificatrice générale d’Etat, Nafi Ngom Keïta est une Première dame controversée. Depuis 2005, écrit-il, elle est devenue le fonctionnaire le plus médiatisé du Sénégal à cause de ses sorties et positions souvent contestées".
 
La Cour suprême, par exemple, "rectifie Nafi Ngom Keïta" au sujet de la déclaration de patrimoine de son premier président Mamadou Badio Camara, rapporte L’As.

Dans une lettre, "le secrétaire général de la Cour suprême, Abdoulaye Ndiaye, a recadré Nafi Ngom Keïta, dans sa réponse au sujet de la déclaration de patrimoine que la présidente de l’OFNAC exigeait" de M. Camara et d’une partie de ses collaborateurs.
 
La Tribune ajoute : "Toutefois, elle ne se fait pas d’illusions sur la suite qui sera donnée à ce dossier", ce à quoi semble répliquer Seydou Guèye. Le recours de Nafi Ngom Keïta prouve au moins que " le Sénégal est un pays de droit", note-t-il à la Une du quotidien Le Soleil.
 
Si l’on en croit Le Témoin quotidien, l’ancienne présidente de l’OFNAC a été simplement "remise à sa place". Le journal publie à nouveau un article écrit par son éditorialiste le 12 janvier 2015, selon lequel la nomination de Nafi Ngom Keïta à la présidence de l’OFNAC relève d’une erreur de casting.
 
Une "Première dame controversée", renchérit Le Témoin quotidien. "Ex-présidente de l’OFNAC et Vérificatrice générale d’Etat, Nafi Ngom Keïta est une Première dame controversée. Depuis 2005, écrit-il, elle est devenue le fonctionnaire le plus médiatisé du Sénégal à cause de ses sorties et positions souvent contestées".
 
La Cour suprême, par exemple, "rectifie Nafi Ngom Keïta" au sujet de la déclaration de patrimoine de son premier président Mamadou Badio Camara, rapporte L’As.

Dans une lettre, "le secrétaire général de la Cour suprême, Abdoulaye Ndiaye, a recadré Nafi Ngom Keïta, dans sa réponse au sujet de la déclaration de patrimoine que la présidente de l’OFNAC exigeait" de M. Camara et d’une partie de ses collaborateurs.

APS



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