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Dans cette nouvelle structure, on trouve aussi d’autres leaders de Manko Wattu Senegaal. Ces responsables de partis politiques de l’opposition comptent aller ensemble aux prochaines joutes électorales. «Samm Li Nu Bokk est membre de la coalition Wattu Manko Sénégal, mais ce dernier n’est qu’un cadre unité d’actions, alors que celle-ci a des objectifs politiques qu’elle est prête à défendre », précise leur porte-parole du jour Dr Dialo Diop.
Selon lui, la coalition Sam Li Nu Bokk est déterminée «à œuvrer dans une optique et une dynamique de rupture radicale pour un réel changement de cap et de perspectives : non plus un simple changement de visages au sommet du pouvoir ou au sein des Institutions, mais plutôt le triomphe d’une véritable alternative populaire et citoyenne de rupture radicale».
Une occasion que le patron du RND a saisie pour tirer que Macky Sall et son régime. «Le pouvoir issu de la 2èmealternance a brillé par la démagogie avec des slogans du genre ‘la Patrie avant le parti’ ou ‘la gestion de rupture, sobre et vertueuse’ avant de montrer son véritable visage de dictature émergente, avec des coups de force tels que l’Acte 3 de la décentralisation, le référendum escamoté du 20 mars, le montage ténébreux du protocole de Doha avec la grâce accordée à Karim Wade…», dénonce-t-il.
WALF
Selon lui, la coalition Sam Li Nu Bokk est déterminée «à œuvrer dans une optique et une dynamique de rupture radicale pour un réel changement de cap et de perspectives : non plus un simple changement de visages au sommet du pouvoir ou au sein des Institutions, mais plutôt le triomphe d’une véritable alternative populaire et citoyenne de rupture radicale».
Une occasion que le patron du RND a saisie pour tirer que Macky Sall et son régime. «Le pouvoir issu de la 2èmealternance a brillé par la démagogie avec des slogans du genre ‘la Patrie avant le parti’ ou ‘la gestion de rupture, sobre et vertueuse’ avant de montrer son véritable visage de dictature émergente, avec des coups de force tels que l’Acte 3 de la décentralisation, le référendum escamoté du 20 mars, le montage ténébreux du protocole de Doha avec la grâce accordée à Karim Wade…», dénonce-t-il.
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