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Politique

Pour la réalisation de son programme «Yonu Yokute » Macky Sall dans les pays du Golf, Koweït, la première étape


Lundi 19 Novembre 2012

Dans sa promesse de bâtir un Sénégal émergent, dans la paix et la justice, tout le sens de son programme ambitieux, réaliste et chiffré, «Yonu Yokuté» ou «chemin du véritable développement», le chef de l’Etat a décidé, selon son entourage, d’aller chercher des financements. C’est dans ce cadre que se situe, entre autres, son déplacement au Koweït. Suivront d’autres pays du Golf, de l’Asie, et d’Europe et d’Amérique.


Pour la réalisation de son programme «Yonu Yokute » Macky Sall dans les pays du Golf, Koweït, la première étape
«Le Président de la République Macky Sall est au Koweït, par recueillir des soutiens en faveur du Sénégal, afin d’impulser des dynamiques de développement », a déclaré Moustapha Niasse, au sortir, hier, de sa rencontre à Touba, avec le Khalife général des mourides. De sources concordantes, ce déplacement du chef de l’Etat n’est que le début d’une série de visites à travers les pays du Golf, d’Asie, d’Europe et d’Amérique, afin de chercher des fonds, pour la réalisation de ses nombreux projets. Ce, conformément à ses promesses de campagne électorale. Car, la même source indique que le chef de l’Etat est conscient du retard dans la réalisation des attentes des populations. Du fait, selon Abdoul Mbaye, lors de sa conférence de presse, « qu’au début du mandat du nouveau président de la République Macky Sall, il y avait une moins-value fiscale de 53 milliards de francs Cfa». Et pour faire face à cette situation, le gouvernement, dit-il, a éliminé des agences et des directions, ce qui lui a permis d’économiser 61 milliards de F cfa. En outre, près de 35 milliards de nos francs ont été économisés, avec la rationalisation des dépenses publiques, notamment, en ce qui concerne le téléphone et autres. Et M. Mbaye de poursuivre : « devant l’urgence, l’Etat du Sénégal a injecté près de 34 milliards, dans le monde agricole, en vivres de soudure et en matériels agricoles ». Mieux, le Pm avait déclaré que les choix budgétaires du nouveau régime seront tournés vers « l’amélioration de la demande sociale». Abdoul Mbaye avait fait une estimation en chiffre de l’ensemble des actions sociales entreprises jusqu’ici. « 3 milliards investis pour la gratuité de l’hémodialyse, 10 milliards pour la protection sociale universelle, 28 milliards allégés de l’Impôt sur le revenu et 66 milliards injectés dans le résolution du problème immédiat des inondations, particulièrement, dévastatrices, cette année », avait-il expliqué. Aussi, est-il compréhensible, vu ces dépenses, que l’Etat soit dans l’obligation de se tourner vers ses partenaires, en quête de fonds pour la réalisation de son programme.

leral.net




1.Posté par Sadaga Diop le 19/11/2012 13:51
Je ne veux pas faire le rapprochement avec les deux milliards qui ont été collectés pour venir en aide aux sinistrés des dernières inondations, mais le contrôle n'exclut pas la confiance ! Que les Députés aient de bonnes voitures comme dans toutes les démocraties du monde n'est le minimum, mais nous devons aussi prendre à bras le corps les travaux gigantesques qui sont nécessaires dès le mois de janvier au plus tard,au risque de vivre pire que ce que nous avons vécu au mois d'août dernier. Tous les scientifiques dans ce domaine ont prédit des pluies plus importantes en juillet et août prochain au Niger, Mali et Sénégal. De la même manière que le Gouvernement a budjetisé l'achat de ces véhicules, et c'est bien, il doit recruter des milliers de jeunes qui pourraient faire un bon travail dans toutes les zones inondables de Dakar et en Banlieue. J'avais préconisé le recrutement de milliers de jeunes à raison de 80.000 francs net par mois pour résoudre définitivement ce problème des inondations à Dakar-Banlieue, Thiès, Kaolacvk et Touba avec l'aide d'Ingénieurs et de Techniciens qui viendraient de bneaucoup de pays pour nous y aider. Pour le financement, j'avais suggéré que le Gouvernement institue une taxe qui pourrait être dénommée "taxe -innondations" et qui serait financée par une nouvelle vignette Automobile comme celle qui existe déjà sur le pare-brise de chaque véhicule en circulation au Sénégal. Si on considère qu'il y aurait en gros 750.000 véhicules qui sont immatricu...

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