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Selon Louis Lamotte, il ne peut y avoir de pénurie de sucre car, actuellement, il y a au moins 13.000 tonnes de sucre en attente d’être livrées dans les entrepôts de la Css. Lors d’une visite dans les entrepôts de la compagnie, Louis Lamotte est revenu sur le processus d’importation de sucre de la part de la Css pour assurer l’approvisionnement du marché lors des ruptures de la Css. «Le sucre est importé et débarqué à Dakar. C’est plus simple de le stocker dans la capitale et de diffuser le produit à partir de Dakar. Depuis juin, ils ont en charge de distribuer à peu près 80.000 tonnes que la CSS a importées pour faire face aux besoins du marché pendant l’intersaison. Un rythme de vente de l’ordre de 800 à 1000 tonnes jour», explique le responsable de la Css. M. Lamotte indique qu’en temps normal, 400 à 500 tonnes par jour suffisent pour satisfaire le marché.
«Quand on en fait deux fois (800 à 1000 tonnes livrées par jour) et qu’on parle de pénurie de sucre, on installe une confusion qu’il va falloir chercher à résoudre. Il ne peut pas y avoir de pénurie. Pour les stocks résiduels, il y a au moins 13.000 tonnes qui sont en attente d’être livrées. Il n’y a pas de bousculade au niveau du chargement. Très peu de camions viennent», indique M. Lamotte qui, cependant, se pose des questions sur ce que les commerçants font du sucre acheté. A la lumière de ces explications, on peut penser qu’il y a des commerçants véreux qui gardent le sucre dans leur magasin pour créer un sen