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Le PSG va devoir faire sans Serge Aurier ce mercredi à l’Emirates Stadium. Le latéral droit ne figure pas dans le groupe retenu pour affronter Arsenal en Ligue des champions. Mais ce n’est pas une décision sportive. Loin de là. L’international ivoirien n’a pas obtenu son visa d’entrée au Royaume Uni en raison de sa récente condamnation en justice dans l’affaire qui l’oppose à des fonctionnaires de police. Le club parisien « déplore cette situation incompréhensible ».
Dans un communiqué, Paris explique que son joueur a dans un premier temps obtenu un visa le 21 octobre dernier, après avoir été auditionné trois jours plus tôt. Mais ce visa a finalement été annulé le 16 novembre sur décision du Ministère de l’Intérieur britannique. Une « troublante volte-face », fustige le PSG, qui rappelle qu’Aurier a été condamné le 30 septembre et qu’il a d’ailleurs fait appel (avec effet suspensif). Les champions de France assurent qu’ils l’ont précisé aux autorités britanniques à plusieurs reprises. Le PSG prévenu seulement ce mardi à 14h
D’où leur étonnement devant une décision qui ne leur a été notifiée que ce mardi à 14h. « Le PSG regrette fortement que ce principe fondamental du droit n’ait pas infléchi la position anglaise » et « estime que cette réponse extrêmement tardive s’assimile à un manque de respect envers le club, alors que son joueur aurait dû s’entraîner dans quelques heures à l’Emirates Stadium », peut-on lire dans le communiqué.
Dans un communiqué, Paris explique que son joueur a dans un premier temps obtenu un visa le 21 octobre dernier, après avoir été auditionné trois jours plus tôt. Mais ce visa a finalement été annulé le 16 novembre sur décision du Ministère de l’Intérieur britannique. Une « troublante volte-face », fustige le PSG, qui rappelle qu’Aurier a été condamné le 30 septembre et qu’il a d’ailleurs fait appel (avec effet suspensif). Les champions de France assurent qu’ils l’ont précisé aux autorités britanniques à plusieurs reprises.
D’où leur étonnement devant une décision qui ne leur a été notifiée que ce mardi à 14h. « Le PSG regrette fortement que ce principe fondamental du droit n’ait pas infléchi la position anglaise » et « estime que cette réponse extrêmement tardive s’assimile à un manque de respect envers le club, alors que son joueur aurait dû s’entraîner dans quelques heures à l’Emirates Stadium », peut-on lire dans le communiqué.
