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Faits Divers

PAPA SOW - « Je n’ai peur d’aucun adversaire »


Lundi 27 Janvier 2014

C’est fait. Le Puma de Fass connaît son adversaire. Papa Sow qui était dans l’attente après avoir signé un contrat avec Gaston Mbengue, sera opposé à Lac 2 le 11 juin. Un combat qu’il dit prendre très au sérieux.

LE COMBAT - «C’est une bonne chose que Lac 2 se décide enfin. J’ai fait mon petit bonhomme de chemin jusqu’à arriver au statut standard. Je ne peux pas manquer d’adversaire. Pour cette raison, quand le promoteur m’a proposé un cachet et un adversaire raisonnable, je n’ai pas cherché midi à quatorze heures. Je prends ce combat très au sérieux, comme si c’était le dernier de ma carrière. Rien ne sera négligé. Je mettrai tous les atouts de mon côté. Je connais bien Lac 2. C’est bien qu’il ait accepté de m’affronter.»



LE TEMPS DE LA REFLEXION - «Je n’ai peur d’aucun lutteur. Je suis prêt à affronter n’importe qui. Un adversaire peut me sous-estimer avant de m’affronter. Mais une fois dans l’enceinte, il saura à qui il a affaire. Je ne sous-estime aucun lutteur. Pour le cas de Lac 2, je ne dirai pas qu’il m’avait sous-estimé ou qu’il avait peur de m’affronter. Quand il y a proposition de combat, le lutteur prend le soin d’étudier son adversaire. Tout le staff de l’écurie Walo était pour ce combat. Peut-être aussi, si Lac 2 a pris tout ce temps pour donner son accord, c’est parce que d’autres personnes qui ne connaissent pas la lutte lui ont fait croire qu’il pouvait trouver mieux. C’est dommage. Lac 2 devait savoir qu’il n’avait d’autre choix que de m’affronter. Mais je ne l’attendais pas, j’étais prêt à prendre un autre adversaire.»



FAVORI OU OUTSIDER - «La lutte n’est pas une affaire de corpulence. C’est une question d’intelligence. Ma technique de lutte est basée sur l’intelligence. Je n’envie personne sur le plan de la corpulence (110 et 115 kg). Ni sur aucun autre plan d’ailleurs. Je sais lutter, je sais me bagarrer. J’ai battu tous les adversaires qu’on disait dangereux pour moi. Qui osait affronter Paul Maurice à l’époque ? Je l’ai battu sans problème. Quand tout le monde faisait passer Tonnerre pour la terreur de l’arène, c’est moi qui l’ai freiné. Personne ne m’avait déclaré favori quand je devais croiser Baye Mandione. On connaît la suite : je lui ai administré une chute magistrale. La position d’outsider ne me dérange pas. J’accepte la position de tocard jusqu’au jour-j.»

GFM





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