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Le 17 octobre, après l’attaque manquée d’un commando jihadiste à moto contre la prison de Koutoukalé, à 50 km au nord-ouest de Niamey, deux Gazelle « canon » de l’armée de l’air nigérienne, situés dans la capitale, se sont lancés à la poursuite des assaillants lors de leur repli vers la frontière malienne.
Arrivés au-dessus de Ouallam, ces hélicoptères n’ont pas pu rattraper les jihadistes, mais ont effectué à cette occasion leur première sortie opérationnelle.
La livraison par la France de trois Gazelle date de mars 2013, mais il a fallu trois ans pour former les pilotes et équiper ces appareils d’obus de 20 mm. Le Niger disposait déjà de deux hélicoptères blindés MI-35, mais les Gazelle, qui ne sont pas blindés, offrent l’avantage d’être moins coûteux et de pouvoir voler de nuit avec des moyens de visée nocturne.
Ils peuvent donc être invisibles à l’ennemi. En janvier, l’état-major nigérien compte déployer ces nouveaux hélicoptères dans la région de Diffa, au sud-est du pays, pour renforcer la lutte contre Boko Haram.