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C’est la première fois que les autorités nigériennes, dont le pays est attaqué par Boko Haram depuis février 2015, font état de désertion de ressortissants nigériens des rangs de Boko Haram.
« Ils se sont rendus un à un et sont actuellement retenus dans un centre sécurisé », a précisé à l’AFP une source sécuritaire basée à Diffa. Parmi eux, on compte 26 hommes et trois femmes. Une « quatrième femme de nationalité nigériane » s’est également rendue aux autorités de Diffa, a-t-elle ajouté.
Des jeunes attirés par le groupe terroriste
En janvier 2015, un responsable municipal de Diffa, avait signalé des « départs de nombreux jeunes » qui étaient « de plus en plus attirés par les offres de Boko Haram qui leur propose jusqu’à 300 000 francs CFA par mois (environ 500 euros) ».
« Certains reviennent avec de l’argent pour subvenir aux besoins de leur famille et cela tente d’autres encore », s’était-il inquiété. Depuis plusieurs semaines, une accalmie est observée dans le sud-est nigérien, où les attaques de Boko Haram se sont raréfiées.
Les jeunes qui se sont rendus pourront bénéficier d’une amnistie et bénéficieront d’un programme de déradicalisation et de projets de réinsertion socio-économique.
Résultats des actions conjointes
Le Niger, le Tchad et le Nigeria ont lancé quasi simultanément en juillet des opérations de ratissage contre les fiefs de Boko Haram, selon l’armée du Niger.
En octobre, le gouvernement du Niger, a déclaré que ces « opérations avaient donné des résultats décisifs, notamment en libérant plusieurs localités autrefois occupées par Boko Haram ».
« Ils se sont rendus un à un et sont actuellement retenus dans un centre sécurisé », a précisé à l’AFP une source sécuritaire basée à Diffa. Parmi eux, on compte 26 hommes et trois femmes. Une « quatrième femme de nationalité nigériane » s’est également rendue aux autorités de Diffa, a-t-elle ajouté.
Des jeunes attirés par le groupe terroriste
En janvier 2015, un responsable municipal de Diffa, avait signalé des « départs de nombreux jeunes » qui étaient « de plus en plus attirés par les offres de Boko Haram qui leur propose jusqu’à 300 000 francs CFA par mois (environ 500 euros) ».
« Certains reviennent avec de l’argent pour subvenir aux besoins de leur famille et cela tente d’autres encore », s’était-il inquiété. Depuis plusieurs semaines, une accalmie est observée dans le sud-est nigérien, où les attaques de Boko Haram se sont raréfiées.
Les jeunes qui se sont rendus pourront bénéficier d’une amnistie et bénéficieront d’un programme de déradicalisation et de projets de réinsertion socio-économique.
Résultats des actions conjointes
Le Niger, le Tchad et le Nigeria ont lancé quasi simultanément en juillet des opérations de ratissage contre les fiefs de Boko Haram, selon l’armée du Niger.
En octobre, le gouvernement du Niger, a déclaré que ces « opérations avaient donné des résultats décisifs, notamment en libérant plusieurs localités autrefois occupées par Boko Haram ».