Autres articles
-
Côte d’Ivoire : la présidentielle de « 2025 ne se fera pas sans moi » (Blé Goudé)
-
L’or a le vent en poupe : Une bonne nouvelle pour les putschistes Traoré et Goita
-
Niger : Niamey expose les dessous de la visite d’une délégation américaine dans le pays
-
Présidentielle : La Cour suprême rejette les recours de Karim Wade et Cie
-
La Cour suprême suspend une loi controversée du Texas criminalisant l'immigration clandestine
Les victimes de ce drame, qui a également fait une blessée grave, revenaient d’une séance de prières dans un village voisin lorsque le véhicule dans lequel elles avaient pris place a percuté de plein fouet un car de transport interurbain dans un virage.
La route nationale numéro 2, où s’est produit le drame, est considérée comme l’une des plus accidentogènes du pays.
Selon un rapport publié l’année dernière par la Banque mondiale, le taux de mortalité due aux accidents de la route avait baissé de 31% dans le pays entre 2011 et 2014.
La principale cause de ces drames est d’origine humaine du fait du non-respect des règles élémentaires de la circulation, mais aussi du mauvais état d’une bonne partie des 120.000 kilomètres de routes (dont 5600 bitumées) que compte le Cameroun.
Le ministère en charge des Transports, pour sa part et en dépit des nombreuses campagnes de prévention routière, pointe comme principales causes de ces désastres les défaillances humaines (70%) mais également celles liées aux véhicules (20%), au mauvais état des routes (10%) et à la consommation de la drogue chez certains conducteurs.
La route nationale numéro 2, où s’est produit le drame, est considérée comme l’une des plus accidentogènes du pays.
Selon un rapport publié l’année dernière par la Banque mondiale, le taux de mortalité due aux accidents de la route avait baissé de 31% dans le pays entre 2011 et 2014.
La principale cause de ces drames est d’origine humaine du fait du non-respect des règles élémentaires de la circulation, mais aussi du mauvais état d’une bonne partie des 120.000 kilomètres de routes (dont 5600 bitumées) que compte le Cameroun.
Le ministère en charge des Transports, pour sa part et en dépit des nombreuses campagnes de prévention routière, pointe comme principales causes de ces désastres les défaillances humaines (70%) mais également celles liées aux véhicules (20%), au mauvais état des routes (10%) et à la consommation de la drogue chez certains conducteurs.