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Dans les colonnes du Pop, elles appellent aussi "toutes les forces vives de la nation à se mobiliser pour mettre fin à la confiscation des libertés, au recul démocratique, à l’instrumentalisation de la justice, aux arrestations arbitraires ainsi qu’à toutes les dérives du régime actuel".
Toutes choses qu'elles qualifient par une "gravité de la situation politique nationale" consacrée par "la confiscation des libertés individuelles et du droit d’expression, les violations flagrantes de la constitution, des lois et traités internationaux, la séquestration du frère Oumar Sarr qui n’a fait que reprendre les propos du journal Le Monde relayés par toute la presse nationale". Elles en profitent d'ailleurs pour battre en brèche "les accusations de faux" contre leur Secrétaire général national adjoint, Oumar Sarr. Les femmes du Pds affirment que "selon les textes du parti, il est habilité à parler et à signer au nom du Pds". Elles n'ont pas manqué, en outre, de dénoncer "l’arrestation encore arbitraire" de leur candidat Karim et 25 autres responsables politiques, "la violation des articles 61 de la constitution du Sénégal et 52 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale".