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«Nous devons décrisper la situation, apaiser le climat qui me semble assez tenu entre le pouvoir et l’opposition, entre le pouvoir et d’autres acteurs », a dit le Libéral. Selon lui, « il faudra que tout le monde apporte sa contribution à la construction du pays ; il faut que cette affaire-là (interpellation de Aïda Ndiongue et Abdoul Aziz Diop) connaisse le plus rapidement possible une fin ». C’est ce qui mettra davantage à l’aise le gouvernement pour mieux s’occuper des préoccupations auxquelles il est confronté, à savoir l’emploi, l’éducation, les inondations, le prix des denrées de première nécessité, les factures d’électricité….
L’ancien ministre estime qu’ «on a suffisamment fait du bruit autour de la traque des biens mal acquis. Et le moment est venu de fermer cette parenthèse et de se concentrer sur l’essentiel». Parlant, des conditions de dialogue, le député indique qu’elles ne viendront pas de l’opposition. «Ce n’est pas à nous d’appeler à un gouvernement d’union nationale ou de majorité présidentielle…».
L’ancien ministre estime qu’ «on a suffisamment fait du bruit autour de la traque des biens mal acquis. Et le moment est venu de fermer cette parenthèse et de se concentrer sur l’essentiel». Parlant, des conditions de dialogue, le député indique qu’elles ne viendront pas de l’opposition. «Ce n’est pas à nous d’appeler à un gouvernement d’union nationale ou de majorité présidentielle…».
