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On tend directement vers une paralysie de l’électricité, du trafic terrestre, des ports et aéroports si les autorités ne prennent pas en compte les revendications des travailleurs du secteur du pétrole et du gaz. Lors de leur réunion de crise hier vendredi, les délégués des différentes entreprises du pétrole, du gaz, du raffinage, de la distribution, du stockage ont estimé qu’il est tant de mettre à exécution leur menace. A cet effet, s’il n’y a pas de réaction positive des autorités, au plus tard le 10 septembre, les travailleurs vont observer un mouvement de grève jusqu’à ce que les engagements signés depuis 10 ans soient respectés.
Dénonçant l’attitude de leur tutelle qui disent-ils, les prend « pour des demeurés », les délégués demandent « l’application des engagements déjà pris et signés ». Les camarades de Cheikh Diop, président du syndicat du pétrole et du gaz et Abdourahmane Cissokho, secrétaire général dudit syndicat qui s’écrient « ce n’est pas normal qu’on nous marginalise » indiquent que « la seule solution est de tout faire arrêter », menaçant dans les colonnes de « L’as » qu’ « il faut que nous leur montrions de quel bois nous nous chauffons en observant une grève totale ».
Dénonçant l’attitude de leur tutelle qui disent-ils, les prend « pour des demeurés », les délégués demandent « l’application des engagements déjà pris et signés ». Les camarades de Cheikh Diop, président du syndicat du pétrole et du gaz et Abdourahmane Cissokho, secrétaire général dudit syndicat qui s’écrient « ce n’est pas normal qu’on nous marginalise » indiquent que « la seule solution est de tout faire arrêter », menaçant dans les colonnes de « L’as » qu’ « il faut que nous leur montrions de quel bois nous nous chauffons en observant une grève totale ».
