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C’est que Saër Niang considère que la durée de son mandat ne doit pas être calculée en fonction de la date de sa nomination, le 1 janvier, mais plutôt à partir de sa prise de fonction, deux mois après. De ce point de vue, son mandat expire en mars.
Nafi Ngom Keïta avait fait le même mode de calcul pour rester quelques mois à la tête de l’Ofnac, mais il n’aura pas obtenu gain de cause. Elle a déposé un recours à la Cour suprême.
Saër Niang a eu plus de chance. Il est resté en poste. Et, sans doute poussé par cette «victoire», il se dit prêt à assurer un troisième mandat «informel» au cas où l’Armp aurait du mal à trouver son remplaçant.
Cette possibilité s’est heurtée au véto du Conseil de régulation. Un de ses membres : «Si son mandat arrive à expiration avant que le processus de sélection ne soit achevé, nous allons désigner un intérimaire.»
(Source : Le Quotidien)