Autres articles
-
Bande des filaos : la Cour suprême se penche sur le décret de Macky Sall
-
GAMBIE : Le Président Diomaye explique pourquoi il a réservé sa première sortie à la Mauritanie
-
Sortie du franc CFA : ce que Felwine Sarr conseille à Diomaye Faye
-
Motion de censure : la réponse sèche d’Abdou Mbow à Moustapha Sarré
-
«94 milliards» et Prodac : la grosse annonce de l’homme qui murmure à l’oreille de Sonko
Le chargé de communication de Rewmi se fonde sur le fait que, d’abord, ce ne sont pas tous les députés qui souhaitent poser des questions qui le feront. A titre d’exemple, dit-il, il aimerait interpeller le Premier ministre sur certaines questions, mais il n’aura pas la parole parce que la répartition du temps de parole est déjà faite. Ensuite, ajoute-t-il, les questions sont envoyées à l’avance aux membres du Gouvernement qui ne feront qu'une récitation d'un texte préparé. En plus, aucun député n'aura la possibilité de revenir à la charge s'il n'est pas satisfait des réponses. Il en conclut que c’est du «Mackyllage» note-t-il dans l'AS quotidien.