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L'accord prévoyant l'évacuation de civils et d'insurgés de la ville d'Alep a été "suspendu" après des objections du régime syrien, ont indiqué à l'AFP un responsable rebelle et une source proche du régime.
"Nouvelles conditions"
D'après les rebelles, le régime et ses alliés notamment iraniens ont "imposé de nouvelles conditions" à l'accord, tandis que la source proche du pouvoir a souligné que Damas avait exprimé son désaccord sur le nombre élevé de personnes devant être évacuées.
Reprise des bombardements
Le régime syrien a repris mercredi ses bombardements sur la dernière poche rebelle d'Alep après une pause de plusieurs heures qui devait permettre l'évacuation de civils et de rebelles de la deuxième ville du pays, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
D'après l'armée russe, principal soutien des troupes de Bachar al-Assad, des attaques des rebelles ont poussé le régime à mettre fin au cessez-le-feu.
"Attaque repoussée"
"Profitant de la trêve, des rebelles se sont regroupés à l'aube et ont essayé de franchir les positions des troupes syriennes dans le nord-ouest d'Alep", indique l'armée russe dans un communiqué. "L'attaque des terroristes a été repoussée. L'armée syrienne a prolongé ses opérations de libération", poursuit ce communiqué.
"14 obus rebelles"
"Il y a eu ce matin au moins 14 obus tirés par les troupes du régime sur le carré tenu par les rebelles et ce, pour la première fois depuis mardi soir", a précisé à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH.
La Turquie accuse Assad
La Turquie a par ailleurs accusé le régime syrien et les groupes armés qui lui sont affiliés d'empêcher la mise en oeuvre du cessez-le-feu censé permettre l'évacuation des civils et des rebelles d'Alep-est. "L'évacuation n'a pas pu avoir lieu", a déploré le ministre des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu.
"Nouvelles conditions"
D'après les rebelles, le régime et ses alliés notamment iraniens ont "imposé de nouvelles conditions" à l'accord, tandis que la source proche du pouvoir a souligné que Damas avait exprimé son désaccord sur le nombre élevé de personnes devant être évacuées.
Reprise des bombardements
Le régime syrien a repris mercredi ses bombardements sur la dernière poche rebelle d'Alep après une pause de plusieurs heures qui devait permettre l'évacuation de civils et de rebelles de la deuxième ville du pays, rapporte l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
D'après l'armée russe, principal soutien des troupes de Bachar al-Assad, des attaques des rebelles ont poussé le régime à mettre fin au cessez-le-feu.
"Attaque repoussée"
"Profitant de la trêve, des rebelles se sont regroupés à l'aube et ont essayé de franchir les positions des troupes syriennes dans le nord-ouest d'Alep", indique l'armée russe dans un communiqué. "L'attaque des terroristes a été repoussée. L'armée syrienne a prolongé ses opérations de libération", poursuit ce communiqué.
"14 obus rebelles"
"Il y a eu ce matin au moins 14 obus tirés par les troupes du régime sur le carré tenu par les rebelles et ce, pour la première fois depuis mardi soir", a précisé à l'AFP Rami Abdel Rahmane, directeur de l'OSDH.
La Turquie accuse Assad
La Turquie a par ailleurs accusé le régime syrien et les groupes armés qui lui sont affiliés d'empêcher la mise en oeuvre du cessez-le-feu censé permettre l'évacuation des civils et des rebelles d'Alep-est. "L'évacuation n'a pas pu avoir lieu", a déploré le ministre des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu.