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"J'allais dans Davao avec une moto et je patrouillais dans les rues, à la recherche de problèmes. Je cherchais vraiment l'affrontement pour pouvoir tuer", a-t-il ajouté. Rodrigo Duterte est accusé d'avoir orchestré des escadrons de la mort à Davao, où ils auraient tué plus de 1.000 personnes, selon les défenseurs des droits de l'Homme. Répondant aux critiques de la communauté internationale, il a redit qu'il n'avait pas l'intention de mettre un terme à sa politique, qui ne viole aucune loi, d'après lui, puisque la police agit en légitime défense et que de nombreux décès résultent de règlements de comptes entre bandes criminelles.
Les Etats-Unis, les Nations Unies et l'Union européenne ont pris la tête du concert de condamnations internationales de cette campagne pour laquelle il a également encouragé les citoyens ordinaires à tuer ou arrêter des suspects. L'avocat de 71 ans est arrivé au pouvoir à l'issue d'une campagne sécuritaire outrancière, promettant d'éradiquer le crime en quelques mois.