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«Sous Abdou Diouf, on lui avait mis trop de pression jusqu’à prendre un ministre qui n’est pas politique, un ancien chef d’État-major, pour lui confier l’organisation des élections, rembobine l’ancien ministre des Affaires étrangères. Aujourd’hui, qu’est-ce qui empêche l’actuel président de la République de prendre une des deux décisions ? Ou bien il nomme un ministre non politique à la tête du ministère de l’Intérieur ou bien il nomme un ministre délégué chargé des élections ; Abdoulaye Wade l’a fait quand on lui a mis la pression.»
À propos du poids du chef de l’État dans l’architecture institutionnelle, Gadio estime qu’il crée un déséquilibre qui menace la crédibilité des institutions. «Il ne peut pas continuer à être le président du Conseil supérieur de la magistrature. Il nous faut une claire séparation des fonctions et des institutions, propose le leader de Luy jot jotna. La justice doit être totalement indépendante pour pouvoir garantir beaucoup de choses qui nous intéressent. La justice est notre premier et notre dernier recours. Le régime présidentiel crée un monarque en République. Même les inventeurs du système veulent le changer.»
(Source : Wal fadjri)