-
Côte d’Ivoire : la présidentielle de « 2025 ne se fera pas sans moi » (Blé Goudé)
-
L’or a le vent en poupe : Une bonne nouvelle pour les putschistes Traoré et Goita
-
Niger : Niamey expose les dessous de la visite d’une délégation américaine dans le pays
-
Présidentielle : La Cour suprême rejette les recours de Karim Wade et Cie
-
La Cour suprême suspend une loi controversée du Texas criminalisant l'immigration clandestine
Il défend depuis longtemps les droits des femmes en Arabie saoudite, où elles sont soumises à de nombreuses restrictions. Le prince Al-Walid a également expliqué les raisons de son soutien au droit des femmes à conduire dans un long communiqué. "Empêcher une femme de conduire est aujourd'hui une question de droits semblable à celle qui se posait quand il leur était interdit d'avoir accès à l'éducation ou d'avoir une identité à elle", précise-t-il dans ce communiqué, évoquant "des actes injustes" qui sont "beaucoup plus restrictifs que ce qui est légalement permis par les préceptes de la religion" musulmane.
Le prince Al-Walid parle aussi du "coût économique" du fait que les femmes en Arabie saoudite dépendent, pour se déplacer, de chauffeurs privés "étrangers" ou de taxis. Et si un mari trouve le temps de conduire son épouse, cela suppose qu'il s'absente de son travail, altérant sa productivité, ajoute-t-il.